L'amour, ça rend con. L'amour, ça vous donne envie de pleurer quand Will Turner quitte Elizabeth Swann pour dix ans, parce que vous vous imaginez confronté à la même situation, et que cela suffit à vous donner l'impression qu'on vous arrache les poumons.
Lundi 29 août 2011 à 0:29
Mardi 23 août 2011 à 22:33
Chez Mathieu, c'est comme ça :
C'est beau.
Et vu de là où on mange et picole, c'est encore plus beau :
Et il y a ça aussi qui est beau :
Et puis ça :
Et puis il y a Mathieu. Alors les vacances là-bas, c'était tout simplement formidable.
Dimanche 21 août 2011 à 23:39
Les enfants, si je trouve le temps, il devrait y avoir du reportage photo d'ici peu, histoire de vous montrer comment c'est trop merveilleux le Jura.
Mardi 16 août 2011 à 1:03
Ca y est, je vis dans l'attente. C'est bon et déchirant à la fois. Mais surtout bon, tout de même, quand l'attente prend fin. La dernière période d'attente en date se termine dans quelques heures, alors je suis heureuse. C'est con, hein, le bonheur, si on me demandait je ne saurais même pas dire s'il faut le chercher ou s'il faut patienter, le temps qu'il nous tombe dessus au moment où l'on s'y attend le moins. Je pense que j'ai provoqué les choses en partie, mais ce bonheur-là, je ne m'y attendais pas du tout. En tout cas il n'y a pas de secret, pour faire bouger sa vie, il faut sortir. Le hasard fait le reste. Il faut juste accepter de se fier au hasard, de se laisser porter par le courant.
Je ne sais pas quel courant me porte à écrire ça en ce moment, ce n'est pas du tout là que je voulais en venir, mais laissons, ça ajoutera un peu de pseudo-réflexion à cet article. Je voulais sûrement dire que je partais quelques jours, pour des vacances un peu spéciales dans ce pays mystérieux qu'est le Jura... Je vous en dirai des nouvelles, et il paraît que c'est bien joli alors je ramènerai aussi des photos. Depuis quelques temps je ne sais plus trop à qui je m'adresse quand j'écris "vous", je ne sais plus trop non plus quelle part de ma vie je peux raconter et comment je dois le raconter, si je dois tourner les phrases pour moi-même ou pour des lecteurs. Espérons que cela me passera. J'ai rangé tous nos CD's d'artistes français par ordre alphabétique aujourd'hui, cela fait des années que mon père nous tanne pour virer les VHS de dessins animés et pouvoir ranger correctement sa collection de disques ; c'est chose faite. Et c'était plutôt plaisant à faire.
<< Ca me fait vraiment mal au cul de mettre Yannick Noah derrière Noir Désir...
- Nen nen, Yannick Noah il existe pas, cache-le ! >>
Je ne sais pas quel courant me porte à écrire ça en ce moment, ce n'est pas du tout là que je voulais en venir, mais laissons, ça ajoutera un peu de pseudo-réflexion à cet article. Je voulais sûrement dire que je partais quelques jours, pour des vacances un peu spéciales dans ce pays mystérieux qu'est le Jura... Je vous en dirai des nouvelles, et il paraît que c'est bien joli alors je ramènerai aussi des photos. Depuis quelques temps je ne sais plus trop à qui je m'adresse quand j'écris "vous", je ne sais plus trop non plus quelle part de ma vie je peux raconter et comment je dois le raconter, si je dois tourner les phrases pour moi-même ou pour des lecteurs. Espérons que cela me passera. J'ai rangé tous nos CD's d'artistes français par ordre alphabétique aujourd'hui, cela fait des années que mon père nous tanne pour virer les VHS de dessins animés et pouvoir ranger correctement sa collection de disques ; c'est chose faite. Et c'était plutôt plaisant à faire.
<< Ca me fait vraiment mal au cul de mettre Yannick Noah derrière Noir Désir...
- Nen nen, Yannick Noah il existe pas, cache-le ! >>
Je vous laisse sur une superbe photo de la dernière à Besançon, soirée d'anniversaire sur un thème hawaïen bien réussi, peut-être aurez-vous droit à d'autres photos plus drôles une prochaine fois, je m'en vais en direction de mon lit, plus vite je m'endors, plus vite on sera demain.
Dimanche 14 août 2011 à 1:26
Il serait peut-être temps que je me remette à écrire. Je vous ai abandonnés il y a plus d'une semaine avec la photo de Mathieu à l'accueil, pourtant ce n'est pas comme si je n'avais rien à raconter. Ca se confirme donc, il est plus difficile d'écrire quand on est heureux, et tellement plus simple de râler... Je n'ai pas eu beaucoup de temps à ma disposition, non plus ; entre le déménagement et la vie sociale, ça n'arrête pas. Le weekend dernier, Doriane est venue à la maison. Cela faisait quatre mois que nous ne nous étions pas vues, et ce fut comme si ces quatre mois n'avaient pas existé. Nous avons passé trois jours à boire du vin, autour du concert tant attendu de Yodelice (et de Ben Harper, mais je le mets entre parenthèses parce qu'on était surtout venues voir Yodelice, et qu'on n'a pas été déçues sur ce plan). Promenade nocturne à Mulhouse, la liberté au volant, et le film avant d'aller se coucher, comme au bon vieux temps dans mon ancien chez-moi. Oui, je dois maintenant parler au passé de mon appartement à Besançon. Je l'ai nettoyé comme jamais aujourd'hui, il est prêt pour l'état des lieux. Le déménagement a été effectué jeudi, 500 kilomètres en camionnette, et toujours des problèmes de portes à tenir partout quand on monte les meubles. Il n'est pas encore au point, mais mon nouvel appartement à Strasbourg semble opérationnel. Avant d'y mettre les meubles, il a fallu tout repeindre, les murs, les portes, les plafonds... et gratter toutes les traces de peinture laissées par les anciens locataires sur les plinthes, les lampes, les meubles, les poignées de portes, et le sol. Le sol, ça c'était de la grande rigolade : deux heures à quatre pattes à frotter chaque micro-goutelette de peinture blanche à coups de brosse à dents... et je n'ai pas fait la moitié ! Sans oublier le nettoyage obligé de la salle de bain, et celui des VMC qui étaient vraiment dans un état lamentable. Quand je pense à mon application à rendre un appartement nickel lors de mon propre état des lieux de sortie, je déteste encore plus ce fichu ancien locataire (je l'avais dit, que c'était plus facile de râler). Mais maintenant, ce qui est fait n'est plus à faire, et je dispose d'un beau petit F1 à Strasbourg (devant lequel des ambulances passent sept fois par jour (râlons encore)). Entre ces milliers d'allers-retours d'un domicile à un autre, il y a eu une sortie familiale à Europapark, du Silver Star et compagnie avec le petit frangin, de la randonnée, de la ferme-auberge, du test auditif, des champignons, des visites surprises, des cheveux de plus en plus oranges, des listes de courses, des plans pour la suite des vacances, des coups de fils à l'Homme, et plein de bonnes choses en perspective. On va finir sur une photo bien niaise, un cappuccino dans un bistrot "français" d'Europapark.
<< A l'endroit