Je me suis assise à la même place que la semaine dernière, en espérant que les garçons feraient de même et qu'A. se joindrait à Florian et moi pour la partie de pendu du jour. A. a posé ses affaires à côté de moi : "Vous ici ? On a un pendu à continuer.". Je jubilais. Certes, je ne suis pas difficile, il suffit que l'on considère mon existence pour que je m'emplisse de joie ; mais je peux vous assurer que c'est déjà beaucoup demander. Je n'ai pas arrêté de sourire. Il sentait le parfum d'homme, et dans mon monde de filles, c'était fichtrement bon d'exister aux côtés d'un mâle.
Commentaires
Par Luyana le Mercredi 9 février 2011 à 18:59
:) On se rejoint sur beaucoup de choses, nous les nanas ..
Par Mercredi 9 février 2011 à 22:49
le Véridique... Quand un parfum de mâle rôde dans un cercle exclusivement féminin, ce dernier en est tout bouleversé...
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