Voilà. Je ne saurais dire si on en a fini ou pas. Je croyais que cette semaine allait être d'un ennui mortel, seule chez moi à ne rien faire, mais en fait Céline et Quentin ont toujours été quelque part dans le coin, demain je vais à Strasbourg, et il y avait la gastro pour pimenter tout ça, ou peut être pour calmer l'espèce de boule de nerfs que je suis devenue depuis quelques jours. On a tendance à oublier qu'on a changé d'année, mais en fait il s'est passé tellement de choses depuis le 31 décembre 2010 que je l'ai bien compris, qu'on était passés à autre chose. 2011 commence sous un drôle de signe. La vérité peut être. Nous verrons. Ah, et je me suis inscrite sur Facebook. Ha ha, j'ai presque honte. Mais c'est toujours mieux que de passer par le compte de Céline et de ne pas pouvoir laisser de commentaires. Sur moi, il n'y aura pas grand chose, le blog est là pour ça. Mais je restreindrais quand même fortement le nombre d'amis. Oui oui oui les gens, je sais, c'est la grande révolution.
Lundi 3 janvier 2011 à 19:11
Tout ce qu'on ne s'est jamais dit.
Tout ce qu'on a toujours su.
Ca fait trois jours que je n'arrête pas, je suis vidée. Vidée. Je n'irais pas bien loin sans vous.
Here is a plea from my heart to you,
Nobody knows me as well as you do,
You know how hard it is for me
To shake the disease
That takes hold of my tongue
In situations like these.
Tout ce qu'on a toujours su.
Ca fait trois jours que je n'arrête pas, je suis vidée. Vidée. Je n'irais pas bien loin sans vous.
Here is a plea from my heart to you,
Nobody knows me as well as you do,
You know how hard it is for me
To shake the disease
That takes hold of my tongue
In situations like these.
Dimanche 2 janvier 2011 à 23:01
Et alors je ne suis toujours que l'Autre, la bouée de sauvetage, le plan B, celle qu'on se taperait bien si on était pas déjà amoureux, voire même moins que ça des fois, plutôt le plan Z. Ou plutôt l'ébauche de plan, parce que je n'ai jamais la malchance d'arriver jusqu'à sa réalisation. Le problème quand on joue avec le feu, ce n'est pas qu'on risque de provoquer un incendie, c'est que le feu peut s'éteindre d'un seul coup à tout instant. Et alors là, ils aiment tous tellement sortir la carte du grand méchant homme qui n'est pas un mec bien, vraiment c'est un conseil, reste loin de moi, ils savent tous tellement mieux que moi ce qui est bien et mal pour moi, et jouent du désolé à tour de bras, n'en pensant pas un mot, parce qu'il ne leur reste pas un brin de conscience. A tel point parfois qu'exiger un minimum de considération est déjà trop demander. Tu n'as qu'à rester là à attendre qu'on ait besoin de toi, et rien de plus. Et le flot de déceptions et d'amertume ne s'arrête jamais, on prend les mêmes et on recommence, la fin n'a pas de fin, à chaque fois je me dis que c'en est trop, et cela continue encore et toujours, éternellement. Pour combien de temps encore ? Je finirai aigrie, frustrée, et difficile à vivre, mais même pas lesbienne, parce que les filles c'est nul, et surtout parce que j'aime trop les hommes. Mais jamais les hommes normaux.
Dimanche 2 janvier 2011 à 20:17
I am the hollowness, the empty bottle at the end. I am the falling part playing at pretend.
Samedi 1er janvier 2011 à 22:37
Réveillon du nouvel an, début de soirée, déjà un peu bourrés.
On se dit des choses qu'on ne se dirait pas si on n'était pas bourrés.
On fait des choses qu'on ne ferait pas si on n'était pas bourrés.
On se touche comme on ne se toucherait pas si on n'était pas bourrés.
Et après on dé-saoule. Et après c'est la merde.
On se dit des choses qu'on ne se dirait pas si on n'était pas bourrés.
On fait des choses qu'on ne ferait pas si on n'était pas bourrés.
On se touche comme on ne se toucherait pas si on n'était pas bourrés.
Et après on dé-saoule. Et après c'est la merde.
<< A l'endroit