Vendredi 29 février 2008 à 18:32

hello! bon , je vais essayer de faire UN effort pour essayer de reproduire le style , l'écriture  et la couleur de se blog! Vous l'aurez compris ce n'est pas lise mais quelqu'un d'autre ! Mais QUI ? Et bien c'est moi , Maxime =) , je dois vous dire que l'ordi a lise est kapout machen =O  et qu'elle  ne pourra pas s'occuper de son blog pour un moment !! Mais je vous rassure elle ne laisse pas tomber son blog pour autent =) ! Voila tout sa pour vous dire sa ^^ . Bon je vous laisse les amis avant de me faire envahir par les pub qui règnent sur mon ordi =O (elle m'a dit que je pouvais signer alors, je ne vais pas me géner =D)


                                                                Son chéri qui l'aime , Maxime =)

Samedi 23 février 2008 à 19:27

J'ai fini mes devoirs, rangé mes classeurs, chanté (hurlé) deux albums et demi de Muse (ça fait toujours du bien, un p'tit Muse) en sentant le niveau de température de ma chambre augmenter. Le p'tit frangin est rentré de son match de foot en me criant qu'il faisait 23°C au soleil. Le thermomètre affichait 21°C, alors j'ai débranché mon fer, choisi la position "absent" pour le p'tit guguss vert, j'ai sorti une chaise, mes lunettes, mon chapeau, et j'ai repris la lecture du pas-sio-nant Ferragus. Non mais franchement. Il me reste moins de vingt pages et j'espère que ça ira vite, cette tourmente amoureuse pour des raisons plus que débiles me prend la tête. Dans Thérèse Raquin, c'était bien normal que tout le monde crève. Mais là, j'ai du mal à saisir le sens. Bref. J'avais envie de vous raconter en détail pourquoi j'ai fait une overdose de vieilles à poil. Jeudi, nous étions en famille dans des thermes en Allemagne. Seul le sauna est une zone nudiste, mais en sortant des toilettes mes yeux ont heurté une paire de fesses toutes flasques. Enfin, si on peut encore appeler ça des fesses. La vieille propriétaire du fameux postérieur n'avait pas que son cul de flasque, en fait on aurait pu qualifier tout son corps de flasque. Que de la masse qui pend lamentablement. Pas seulement de la chair, de la graisse qui tire la peau vers le bas en d'infâmes bourlets. Il m'a fallu moins de temps pour apercevoir ce sinistre spectacle et m'en détourner aussitôt que pour le décrire. Malheureusement, le nombre de visions de paires de fesses ne s'est pas arrêté là. Quand c'était mon tour de prendre ma douche, il y en avait partout. Des vieilles à poil dans leur douche, au vu de tout le monde, alors que la moitié des cabines comportait des rideaux ! Ce n'est pas par pudeur que je me plains. Mais bien parce qu'on a peut être pas toutes envie de voir ces vieux corps tout flétris et dégoulinants de vieille graisse lourde, inéxorable vérité de notre futur. Mon Dieu. Ma mère et moi ne nous sommes pas fait priées pour utiliser une cabine à rideaux. Les parois étaient en verre vert, vous savez, du verre flou de fenêtre de salle de bain mais assez transparent pour voir si la voisine est à poil, ou pas. Et bien la notre, malgré son rideau tiré, n'a même pas enlevé le haut de son maillot. C'est insensé ! J'ai quand même du faire une apparition vêtue de mon unique slip de bain pour attrapper ma serviette et m'enrouler dedans, mais je m'en foutais ; c'est moi qui avait les plus beaux seins de toutes les douches. Il faut dire qu'entre les grosses vieilles (d'ailleurs pourquoi fallait-il que toutes les vieilles soient grosses ?) les quarantenaires qui ont connu des grossesses, et les gamines pas encore formées, la concurrence n'était pas rude.

Samedi 23 février 2008 à 15:51

Il fait 21°C et je m'en vais lire sur la terrasse, histoire de pouvoir dire que j'ai profité du soleil.

Vendredi 22 février 2008 à 17:34

Mon père m'a refilé un pull. Il faut croire que je m'épaissis, c'est cool. Et j'ai un soutif qui me fais des gros seins, aussi. Merci Mamie. J'ai vu Neverland l'autre soir. Un film magnifique qui fait pleurer. J'ai bien réussi à me retenir de sanglotter à côté de mes parents, mais les larmes me sont montées assez haut dans les yeux pour que l'une d'entre elle roule sur ma joue. Le pays imaginaire. Un beau concept. On ira là-bas, un jour. C'est fou comme c'est facile, quand on en peut plus. Un coeur et c'est reparti. Et, là encore, j'ai envie de pleurer comme une conne. Vivement que la vie reprenne son cours. Vivement qu'on y soit.

- C'est ce qu'on appelle faire le troittoir. Quel drôle de métier !

- Ah ? Elles excercaient leur métiers, celles-là ?

- Mais oui, ce sont des péripatéticiennes ! Ca se voit !

- Ah. Je pensais que ça se voyait plus dans leurs tenues... Mais la madame tout au bout, c'était pas son métier à elle ?

- Mais si !

- La vieille grosse en polaire rouge ?

- Bien sûr ! Elle discutait avec l'autre avant.

[...]

Vendredi 22 février 2008 à 15:40

J'ai fait une overdose de vieilles à poil.

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