Europa-Park, le retour. Oui parce que, ha ha, j'avais oublié de préciser dans l'article précédent que ça faisait cinq ans que je n'avais pas mis les pieds dans le parc d'attractions, et qu'en l'espace de trois jours, je m'y suis faite inviter deux fois, par deux personnes différentes. Vendredi, vous l'avez compris, c'était Maxime, et hier, c'était Claire. Ou plutôt un monsieur de la famille de Claire qui nous a invité toutes les deux. Ainsi que sa petite-cousine australienne bilingue et sa copine de la même nationalité qui ne parle pas un mot de français (enfin si, bonjour plus les nombres plus les couleurs ça fait quelques mots). Ainsi je suis remontée dans les manèges qui font crier accompagnée de mon amie d'enfance, et je n'avais presque plus peur, du moins avant d'embarquer. Dans la voiture à 180 kilomètres à l'heure sur l'autoroute allemande, j'avais peur aussi, mais comme quand mon père manque de griller un feu rouge. L'adrénaline était avec moi par périodes de deux minutes, dommage qu'il faille attendre si longtemps. J'ai laissé les trucs de malades à Claire et aux autres, ce qui m'a permi d'en apprendre un peu sur l'Australie et de tester mon anglais avec Anna, l'australienne aussi trouillarde que moi. Et Dieu sait comme j'adore discuter en anglais avec des étrangers (même si ça m'est arrivé deux fois dans ma vie). Enfin voilà. Un grand merci pour cette journée qui ne pouvait être que super, et qui l'a été.
(Bienvenue dans mon Alsace.)