Je venais de prendre un bon bol d'air frais, aller au bibliobus en vélo sous la pluie. La capuche sur la tête rétrécit le champ de vision, mais après tout, je n'ai pas besoin de voir le ciel, rien d'autre que les gouttes de pluie n'en serait tombé. J'ai fini Les Deux Tours. La fin me laisse sur ma faim, je sais pas si je vais lire autre chose avant d'attaquer le troisième tome, oh héroïque Sam t'inquiète pas tu vas le retrouver ton Monsieur Frodon.
J'ai bien peur que ma boîte aux lettres électronique ne m'aie lâchée. Veut plus s'ouvrir, Kopftominoramol, "le fichier de session n'existe plus". Va te faire foutre laposte.net. Eh. Nen. Vous allez me prendre pour une débile, mais, je viens de réessayer de l'ouvrir et...ça a marché. Comme quoi, hein. La poste a pas du apprécier l'ordre d'aller se faire foutre. Merci à toi dieu de l'informatique, tu soûles parfois mais, bon, tu sais, je t'en veux pas trop puisqu'au final ça marche [Ouais Ouais ta gueule...]
J'ai envie de parler comme toujours. Mais je ne sais pas, plus, quoi dire. Ou alors je ne veux pas. Ca devient assez contraignant quand on y pense, de vouloir rester dans le droit chemin à tout prix. En vrac. Change everything you are, everything you were. Best, you've got to be the best.
- Mais réfléchissez, à quoi vous fait penser l'expression, "comme un homard pris dans la nasse" ?
- A la pêche.
Des petits rien, comme ça...