Mercredi 11 mars 2009 à 19:18

Les mots sont trop importants pour moi, ce sont eux qui font tout. C'est comme le ciel avec le soleil qui se lève et les nuages roses, c'est comme coller des images sur la musique.
"En fait, à forte dose, on est tous insupportables."

http://img519.imageshack.us/img519/6805/img3636.jpg
Par Kiliwa-Chan le Mercredi 11 mars 2009 à 20:09
Les mots, c'est tellement important, quand on les assemble comme bon gré nous semble, on peut créé des choses magiques. Comme les premiers matins a l'approche du primtemps. Le soleil se lève et rose le ciel les champs le long de la route sont humide et reflet les rayons timide du soleil matinale . Avec ma musique sur les oreilles , je regarde par la fenêtre j'ai l'impression d'être la seule au monde à admirer un aussi beau spectacle , mais apprioris tu le vois aussi.
Je t'aime ma Lisou , j'espère que tu le sais :)
Par Kiliwa-Chan le Mercredi 11 mars 2009 à 20:09
Kiliwa-chan = Clo'
Ca a pris mon identifiant WoW ... Je ne sais pas pourquoi
Par versager le Mercredi 11 mars 2009 à 21:03
Merci pour ta réponse.
Je l'écris ici puisque les derniers mots sont les premiers, et que donc, il y a une suite logique. Et puis ça m'arrange bien parce que la tagboard, c'est fun, mais elle manque d'espace.
Bref, oui, ta réponse m'a intéressé. Beaucoup. La première partie autant que la seconde puisqu'elles se complètent.
Si tu viens de terminer 1984 et que le rapport au passé t'a intéressé, tu devrais te ruer sur le livre qui vient d'avoir le prix France Culture-Télérama là, Les Éclaireurs, de Bello. Je l'ai pas lu, j'en ai entendu parler ce matin sur France Culture justement, et ce soir à la télé, et il a l'air assez surprenant et très intéressant, surtout sur ce point du rapport avec un passé qui peut être falsifié, inventé etc. Je pense que ça vaut le coup d'aller voir. (le mieux serait de commencer par le précédent, m'enfin bon...)
Bref pour dire aussi que je ne passe pas mes journées devant mon écran, et que par pur hasard j'ai commencé juste après avoir posté mon article un bouquin de Duras où elle a une réflexion assez intéressante elle aussi sur l'écriture, les rapports entre celle qui écrit et celui qui ne sait pas le faire, et également sur le rôle de l'oubli, de l'élément du passé non noté qui joue son rôle dans l'écriture. Sur ce point, tu serais sans aucun doute en opposition avec cette chère Marguerite. Son point de vue et les résultats qu'il a entrainé sont passionnants aussi, mais ça, je ne te le conseille pas forcément. Duras est géniale quand on a une lecture guidée par quelqu'un qui connait un peu et sait nous montrer ce qui est formidable dans ces bouquins qui peuvent sembler hermétiques. (enfin y en a des plus faciles quand même, au moins en apparence, le barrage par exemple)
Et pour tout dire, je penche plutôt pour la vision de Duras. Mais enfin ça, ça n'a pas d'importance, je voulais ta vision à toi, et tu as pile répondu à mes espérances. (tu es la seule pour le moment)
Et dans la fiction au fait, tes débuts de romans, c'était quoi qui te donnait l'envie d'écrire ? Pareil, le simple acte d'écrire, créer avec des mots ?
 

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