Vendredi 16 février 2007 à 18:00

Wouah, violent. Je ne m'attendais vraiment pas à ça quand j'ai cliqué sur le seul commentaire que j'ai reçu. 14 février à 15h34. Le monsieur n'était pas avec sa valentine ? Je me demande bien comment il a fait pour atterir sur mon blog. Enfin, je ne me demande pas vraiment, la réponse me semble toute trouvée. J'ai pas envie que mon blog tourne parmi les gens que je connais. Je préfère que vous, amis cowblogiens, vous me lisiez sans me connaître. Un blog, c'est fait pour s'exprimer. En fait, je comprend qu'il aie mal réagi, je n'ai rien dit, mais rien de rien de gentil (ah si, qu'il était un pro du hand). Mais je ne m'attendais pas à une pareille tornade, je n'attendais rien du tout d'ailleurs. Eh oui. C'est ce qu'on appelle parler des gens dans leur dos. Mais qui ne fait jamais ça ? Qui ne parle que de soi, et rien d'autre, parce que sinon, ça s'appelerait parler dans le dos des gens ? Personne. Le pire c'est que je voulais même pas écrire ça pour le critiquer. Rien à voir. Mais, vous allez me dire, je l'ai fait quand même. Mais bordel je n'en ai rien à foutre, personnellement, de sa façon de jouer ! Eh oui. Je me justifie, hein, ça y est, je cherche toujours à me défendre. Mais je préfère ça que de m'écraser et d'aller pleurnicher "Quentin, je suis désolée de t'avoir critiqué sur mon blog" pour m'en prendre encore plein la gueule. D'ailleurs ses jugements sont aussi hâtifs que les miens. Eh oui, accuser les autres et passer pour la victime, je sais faire. C'est juste que j'aimerais être libre. (Rien à voir avec toi cher Quentin, oui je m'excuse quand même). Juste avec à voir avec le monde entier.

Je remercie au passage (eh oui, si déjà, je suis reconnaissante) l'admirable personne qui a envoyé Quentin sur cet article de mon blog. Ah non ! ne me dites pas qu'il me visitait de son propre gré ! Déjà qu'il me connait pas et n'en a rien à foutre de ma gueule, vous allez réussir à me faire croire que mes racontages de vie l'interresse ? Non non, ne me prenez pas pour plus conne que je suis. Et si ça t'amuse, chère personne, tu peux aussi l'envoyer voir celui ci pour qu'il remballe mes excuses et mes justifications.

Han. J'suis nulle, hein ?

M'enfou, moi, j'suis la reine du monde. Même si j'suis pas belle vu de dos.

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