Le cycle de la solitude a commencé. Depuis la semaine dernière déjà, chacun fait sa quatrième année dans son coin et bien sûr, je m'ennuie un peu les jours où je ne sors pas de chez moi. J'ai emprunté des bouquins, ça y est, qui ne me serviront peut-être à rien. Ce sera probablement ça le pire, bouffer des pages et des pages que je ne retiendrai pas pour ma partie théorique. Heureusement, il y a eu un peu de mouvement au bout de cette première semaine sans cours, mais je doute que ce soit représentatif du reste de l'année. Nous avons fêté un diplôme pour la première fois, ça fait tout drôle. Je dors beaucoup, plus je dors plus je suis fatiguée, j'ai des cernes et je bâille, et mon cerveau me sert des films toute la nuit. Toutes les nuits je fais plusieurs rêves sans queue ni tête, tiens d'ailleurs maintenant que j'y pense, j'ai un flash de cette nuit qui me revient alors que je ne m'en souvenais plus au réveil, j'ai rêvé que j'avais mis l'adresse de mon blog sur une fiche de renseignements personnels à destination d'une des profs les plus tarées de l'école. What the fuck ? Et donc, la prof lisait l'adresse à voix haute, je lui demandais de ne pas divulguer à mes camarades, et après je réalisais que je ne pourrais plus jamais écrire sur mes études. Quand je disais que ces rêves n'avaient aucun sens... Remarque, ça ne ferait peut-être pas de mal que je parle moins de mes études ici, non ?
Je pose ce point d'interrogation et je ne sais comment continuer. J'attends qu'il y ait un peu plus de feuilles d'automne sur les arbres pour aller faire des photos mais c'est toujours la même histoire, quand j'emmène mon appareil je ne trouve jamais la bonne lumière. La bonne lumière me tombe dessus en voiture, en vélo, quand je ne suis pas chez moi, quand je ne peux pas la capturer, alors je l'observe intensément, j'essaye de l'absorber avec les yeux pour l'emmagasiner dans un coin de ma tête.
Je pose ce point d'interrogation et je ne sais comment continuer. J'attends qu'il y ait un peu plus de feuilles d'automne sur les arbres pour aller faire des photos mais c'est toujours la même histoire, quand j'emmène mon appareil je ne trouve jamais la bonne lumière. La bonne lumière me tombe dessus en voiture, en vélo, quand je ne suis pas chez moi, quand je ne peux pas la capturer, alors je l'observe intensément, j'essaye de l'absorber avec les yeux pour l'emmagasiner dans un coin de ma tête.
Bon courage pour les semaines à venir (j'aime bien quand tu nous racontes, même tes études) :)