Parfois j'ai mal pour la France quand je rencontre un enfant de 8 ans qui ignore ce qu'est un mouton, quand je croise dans le bus un gamin de 13 ans qui fume une cigarette électronique à côté de sa mère, ou encore quand une fille de CM1 me dit qu'un coq, c'est ce qu'il y a derrière le téléphone.
Parfois un patient m'appelle par mon prénom et ça me fait chaud au coeur.
Parfois l'amitié cache des brasiers qui explosent sans prévenir.
Parfois les gens m'emmerdent et je ne me laisse plus faire.
Parfois je pleure parce qu'il n'y a plus de barrières à mes émotions.
Parfois j'oublie les autres Lise que j'ai été et je ne sais pas comment accorder ce participe passé.
Parfois je me compare encore à mon ancienne image de moi.
Parfois j'aimerais écrire.
Souvent j'aimerais rattraper mon sommeil en retard mais je ne me couche pas à l'heure prévue.
Parfois un patient m'appelle par mon prénom et ça me fait chaud au coeur.
Parfois l'amitié cache des brasiers qui explosent sans prévenir.
Parfois les gens m'emmerdent et je ne me laisse plus faire.
Parfois je pleure parce qu'il n'y a plus de barrières à mes émotions.
Parfois j'oublie les autres Lise que j'ai été et je ne sais pas comment accorder ce participe passé.
Parfois je me compare encore à mon ancienne image de moi.
Parfois j'aimerais écrire.
Souvent j'aimerais rattraper mon sommeil en retard mais je ne me couche pas à l'heure prévue.
Les autres lise ne s'accordent pas mais concordent sûrement vers un être que peu à peu tu apprivoises.
Commentaire inutile mais tes "révoltes" sont miennes