citron-ciboulette

Je suis sûre que vous tenez à comprendre... POURQUOI cette photo ? En plus de la réponse à cette question, je vous propose de vous marrer pendant 4 minutes en visionnant le film dont elle est issue.
Toutes les explications (POURQUOI ce film ?) sont dans mon article précédent.
Surtout, si le film vous plaît, n'oubliez pas de cliquer sur "j'aime" et n'hésitez pas à le partager (via le lien officiel du Marathon Vidéo, les likes sur Youtube ne comptent pas) pour peut-être permettre à mes joyeux compagnons de remporter un prix !
Merci et enjoy !
 

Ponts Couverts vus du barrage Vauban.


Clocher de l'ENA, ancienne prison.


Avant les Ponts, vue sur le barrage Vauban.


Taches de lumière dans l'ombre des quais.


Habits d'été du Musée d'Art Moderne.
 

Tadaaaaam !
L'heure du changement a sonné ; Citron-ciboulette s'est métamorphosé.
J'ai enfin pu scanner mes dessins pour les incruster dans le fond du blog. Nouveau thème, nouvelles couleurs (en tenant compte de vos avis)(le bleu a remporté le sondage, mais je l'ai légèrement modifié sur conseil avisé de Céline, je suis moi aussi plus convaincue maintenant). Je trouve que mes photos de Corse rendent du tonnerre ainsi. Les cases sont également plus larges pour mieux mettre les photos en valeur. Et le plus beau dans tout ça, c'est qu'on ne se brûlera plus les yeux !
Il était temps que je passe à autre chose. L'orange n'est plus ma couleur représentative depuis longtemps, et le vert n'en parlons même pas. Il faut dire que j'ai tendance à rapporter mes couleurs préférées à celles qui me vont le mieux (physiquement, s'entend), et le vert est sûrement la dernière de la liste. Le code couleur du texte des articles change aussi évidemment, bref, j'ai de nouvelles habitudes à prendre.
Ce nouvel habillage s'intitule "I've stripped of all but pride", en référence à Wherever I may roam de Metallica. Pourquoi ce titre, pourquoi ces esquisses ? Je les ai envisagés il y a quelques mois déjà, dans une période particulière de mon existence qui me paraît maintenant loin, très loin, mais j'ai gardé l'idée qui me plaisait toujours. En revanche, si tout ceci ne vous dit rien qui vaille et que vous regrettez le Citron-ciboulette originel, vous pouvez toujours remettre l'habillage précédent, disponible dans l'onglet "Emballage" tout en bas du menu.
En tout cas, je suis personnellement satisfaite du résultat, même si ce n'est pas du grand design. Espérons que cela redonnera un second souffle à ce vieux blog.

(Si j'ai bien compris,) le sentier des Douaniers fait le tour de la moitié Nord du Cap corse. La route longe la côte dans le reste de l'île, mais pas sur la pointe où le sentier prend la relève ; si on veut en admirer les merveilles, il faut randonner. Le point de départ, où l'on laisse la voiture, est au port de Macinaggio :

Nous sommes donc sur la côte Est (rpz), et nous nous engageons vers le Nord (mais c'est le Nord de la Corse, alors il y fait chaud). Pour quitter Macinaggio, nous passons par la plage, puis la grimpette commence. Tout au long de la promenade, la vue ressemble à peu près à ça :

Un ciel bleu, des rochers plongeant dans une mer turquoise, un maquis de printemps parsemé de petites fleurs ; des dégradés de bleu et de vert. De temps en temps, le sentier traverse des plages d'algues séchées, assiégées par de jolies habitantes.

Voici une île accessible à la nage mais interdite aux humains, car réserve naturelle de goélands, dont on entend les cris :

Enfin, après un pique-nique à l'ombre (trouver des arbres dans le maquis n'est pas une mince affaire) près de la chapelle Santa-Maria, nous aboutissons au point d'arrivée de notre balade, la tour Santa-Maria, une des nombreuses tours génoises qui jalonnent l'île, plus ou moins en ruines.

Nous nous installons sur la petite plage peu occupée pour une baignade bien méritée après deux heures de marche en plein cagnard. Vous pouvez admirer la transparence de l'eau (et de ma peau...), le micro-poisson dans mes mains, et Nikita qui a réalisé là un joli cliché avec les ronds dans l'eau.

Le trajet retour s'effectue par le même chemin, que nous coupons un peu à travers le maquis pour changer de paysage (on m'a appris à faire des promenades en forme de boucle, j'étais un peu déconcertée de devoir revenir sur mes pas). Faire le tour complet du sentier des Douaniers n'était pas dans nos cordes, nous nous sommes contentées de quatre heures de marche sous le soleil. Pour conclure ce bref résumé photographique (vous imaginez bien que j'ai enregistré des tonnes d'images, à l'aller comme au retour), voici une photo de notre joyeuse équipe au moment du repas, sous/sur l'arbre qui semblait fait exprès pour nous accueillir. Big up à ma Nikita sans qui rien de tout cela n'aurait été possible.