"Beaucoup d'enfants m'ont demandé pourquoi tu n'étais plus là à la rentrée, ils se souvenaient même de ton prénom."
Du soleil en pleine nuit, une douce émotion à partager, une étincelle qui redonne le goût d'avancer. Les "enfants difficiles" avec lesquels je n'ai (pourtant) passé que sept jours de ma vie, ces sales gosses qui m'ont plu et touchée, qui ont transformé l'obligation du stage en expérience personnelle volontaire, m'ont laissé entrer dans leur monde et m'y auraient bien gardée.