Commençons par les choses joyeuses prévues au départ :
Les aventures d'Adeline la lapine et de Lise la carotte (merde ça rime pas) :
Adeline la lapine répéra Lise la carotte et bondit pour la manger. La pauvre carotte, étant une carotte, ne put pas s'échapper puisqu'elle n'a pas de pieds (photo non contractuelle) et Adeline la lapine la croqua sauvagement. [Fin].
Je sais, la narration ne me réussit pas trop aujourd'hui. J'ai la crève. Je me suis couchée à 1h du matin après avoir passé la soirée à buter des orques sur le PC. Mon frère me félicitait parce que je suis bien meilleure que lui alors que c'est la première fois que je jouais et il essayait de se justifier. Je me suis réveillée toutes les heures ou presque pour me moucher, j'ai rêvé du Seigneur des Anneaux toute la nuit, et me suis levée à 9h 1/2 alors que le dimanche est le seul jour où je puisse dormir autant que je veux. J'aurais dégueulé pour de vrai si j'avais eu quelque chose dans le ventre. Je me suis recouchée après et j'ai réussi à dormir pendant 2 heures. J'aime pas être malade et j'espère que je pourrais dormir correctement cette nuit. J'ai quand même envie d'aller en cours. Je voudrais juste rester au lit le temps qu'il faut pour récupérer et me pointer ensuite au bahut en pleine forme. J'suis mal barrée. Bastien est là mais il est dehors, je l'ai convaincu d'y aller sans moi. Et puis crève ou pas crève, je n'aurais de toutes façons pas apprécié de jouer au foot avec tous les nains de la rue.
A part ça, le montage est mal foutu, et j'arrive pas à l'agrandir, et Ade je t'aime avec ta queue.
Genre carrément je vais m'envoler avec la musique là. La bande son d'Edward Scissorhands, mélancolique à souhait, un peu plus et je me remet à pleurer simplement parce que je suis amoureuse. Putain. Trop émotive ce soir. Je t'aime. Les gens vous êtes horriblement trop pessimistes. Me faites plus jamais peur comme ça s'il-vous-plaît, surtout pas en parlant de lui. P'tain. J'ai flippé. Je l'aime. Il a fallu que mon père rentre à l'improviste juste au moment ou je traversais le couloir pour que je m'arrête de pleurer. Y avait pas vraiment de raison. Juste la peur plus forte que tout et cet amour, ce putain d'amour (oui oui je sais, j'aime bien le mot "putain" ce soir) qui me met dans tous mes états. En une demi-heure j'ai du passer de la crise de...je ne sais pas, moi, d'un truc pas bien, quoi, d'un tas de sentiments malsains, à des larmes de joie. Je suis vraiment trop émotive ce soir. Je sais je me répète. Et y a les commentaires d'un certain monsieur qui me font rire, parce qu'il s'est reconnu quand j'ai (vaguement) parlé de lui et rien que parce qu'il continue d'en mettre, tout simplement. Les films, j'aime bien m'en faire que lorsqu'ils sont chouettes. On me dit aussi que j'ai de belles jambes. C'est drôle, moi je trouve que je ressemble parfois à une cigogne. La loutre et le héron sont mes amis. Ce truc là, là-haut ^, c'est ma dernière création, enfin, ma dernière costumisation, quoi. Comme les deux premières, je suis satisfaite. Et han, je suis sûre de porter quelque chose d'unique au monde (trouvez ça moche si ça vous amuse, moi ça m'éclate). On dirait que l'écriture ça apaise. C'est pas nouveau, même quand je suis énervée, je finis par écrire avec un calme olympien. C'est une vraie drogue. Mais une drogue dont je pourrais bien plus me passer que de lui. Lui. Raah. (dis plus "p'tain" merci ça suffit). Jamais je pourrais m'en passer. Rien que son absence peut gâcher toute une journée. J'ai un peu froid maintenant. Je veux le voir, lui sauter dessus et recevoir mon bisou. Comme les 23 autres. Je l'aime.
