Mercredi 6 février 2008 à 18:43

Ouh là là, les amis, c'est une avalanche de photos que je vous destine aujourd'hui. J'ai failli vous appeler "les chéris" parce que c'est ce que j'ai tendance à faire un peu n'importe quand en ce moment, mais je me suis dit que nous ne sommes pas assez intimes pour que je vous appelle "mes chéris". Enfin ça dépend. Si vous êtes un inconnu, si je visite votre blog autant que vous visitez le mien, ou si carrément vous êtes des amis, des vrais. Ou mon chéri. Dans ce cas là, tu mériterais bien que je t'appelle chéri. Donc. Je reprends, chers ami(e)s, mon chéri, inconnus et semi-inconnus, c'est parti pour admirer deux trois photos d'hier. Qu'est-ce qu'il y avait hier ? Les photos de classes au lycée Scheurer Kestner de Thann. Et au lycée Scheurer Kestner de Thann, le jour de la photo de classe, on se déguise. Evidemment, il y en a toujours, des gros nazes qui sont trop coincés pour oser changer de look le temps d'une photo, la preuve, ma classe n'était pas une de celle où un thème avait été choisi et appliqué. Chez nous, on était à peu près dix vraiment déguisés en n'importe quoi. Voyez-vous même. J'aime être un homme.

Mais regardez aussi comme elle est belle ; ma femme ! Monsieur K. a dit que notre inversion des rôles était assez perverse... Genre il fait de nouveau son chaud...

Et puis aussi, maintenant, j'ai enfin des photos d'elle ! Ma magnifique Diane :

Et mes chicoss' Clo et Ade :

Notre sublime Charline :

Et pour finir, eux, les joyeux théâtreux :

Pas au complet, mais regardez moi ce prof !! Vendredi, vous aurez des photos de la troupe au complet. Mais en attendant, Clo, j'ai envie d'dire, regarde un peu comme on paye sur celle-là !

Lundi 4 février 2008 à 18:29

lizzz               [En ces temps de paillettes...]         dit :

d'ailleurs coco m'a dit qu'on a 5 minutes pendant le cours pour se changer avant la photo

        Diane ... oOo           dit :

dans la salle de cours tous ensemble ? (devant M. K ??)

lizzz               [En ces temps de paillettes...]         dit :

mais non ^^

lizzz               [En ces temps de paillettes...]         dit :

mdr

lizzz               [En ces temps de paillettes...]         dit :

allez Monsieur K, tous à poil !!

        Dian           e ... oOo           dit :

bah pourquoi pas

Quelque chose me dit que la photo de classe de demain va être folklorique.

Dimanche 3 février 2008 à 18:32

J'avais trois anniversaires à souhaiter, aujourd'hui. Ca y est, nous sommes rentrés en février, le mois des anniversaires, et j'ai du mal à me mettre dedans. Il faudra me rappeler que j'ai seize ans dans vingt-cinq jours, au cas où j'oublie. Non bien sûr je n'oublierais pas. Mais ce matin (ou plutôt cet après-midi parce que le temps que je prenne mon petit déjeuner, nous étions l'après-midi), j'ai vraiment eu une illumination. Merde ! Le 3 février ! Ade, Alan et Robin ! Février, c'est vraiment le mois où y a des anniversaires partout. Des gens qu'on voit pas souvent, comme des gens importants, comme les trois d'aujourd'hui, comme les dix-neuf ans d'Elodie, les dix-sept de Magali, les seize de Pauline... et après y a plus personne jusqu'à moi. Et puis comme si ça suffisait pas comme jours à compter, y a aussi les rendez-vous chez les spécialistes qui viennent s'incruster ce mois-ci. Dont un cette semaine. Et nos trois mois. Et le spectacle avec les théâtreux. On a pas fini d's'agiter.

Deux des vieux, il y a un an. Je vous aimes. <3

Dimanche 3 février 2008 à 17:58

"Les hippopotames, ils choisissent un autre hippopotame, et ils restent avec le même toute leur vie. C'est merveilleux, non ?"

"I love you, I always loved you."

Samedi 2 février 2008 à 15:32

Weekend. Pour changer. On ne peut pas y échapper. Dormir, et faire ses devoirs. Quoi d'autre ? Mes weekends sont vides, mes weekends sont morts, depuis quelques temps. Alors j'attend, j'attend patiemment la fin.

"Ah ! Lire, écrire ! Oublier un moment les rabâchages et les blablas, oublier un moment les "Eh alors, Sonia, tu te tais !" "Mohamed, ta casquette !" "Jennifer, où est ton cahier ?" "Jean-Phillipe, tu te retournes et tu te calmes !", on écrit le titre, je dicte, qui a lancé cette gomme ? mais oui, "ébahi" c'est un mot qui existe, je ramasse, je corrige, je corrige, je corrige armée de mon stylo rouge, vingt et unes copies de terminales, c'est vingt et une heures volées à ma vie. Répit. Depuis sept semaines non stop, je m'agite dans tous les sens et la question est toujours là, insondable : tout cela en vaut-il vraiment la peine ? Ce que je possède, ce que je voudrais donner, donner à qui, et pourquoi ? Bien souvent, la réponse arrive, lumineuse, à tout berzingue. Des perles aux cochons. Pisser dans un violon. Et pendant ce temps, mes cernes bleuissent."

J'ai voulu écrire aussi vite que l'on joue la scène. "Superbe, mieux que dans ma tête !". Merci pour nous. On dirait que Monsieur prof a décidé d'arrêter de critiquer tout ce qu'on lui présente.

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