Lundi 12 mai 2008 à 19:06

En fait le Malsaucy c'est peut être aussi joli qu'Embrun, mais sans la neige et en moins loin.

Dimanche 11 mai 2008 à 19:25

Le deuxième rêve réalisé. Un rêve qui date de six mois. Je ne pense encore qu'à ça, pourtant j'ai mal dormi. J'étais réveillée depuis déjà longtemps, trop longtemps. Je lui ai effleuré le nez, doucement. Il a entr'ouvert un oeil, m'a regardée et s'est serré contre moi. Il m'a enveloppé de ses bras, a refermé sa main sur la mienne et s'est rendormi. Blottie contre lui, ma peau contre sa peau. J'aimerais encore y être. Je l'aime tellement, vous ne pouvez même pas imaginer comme je l'aime.

Je suis tellement heureuse que j'en ai presque peur.

Dimanche 11 mai 2008 à 18:56

En deux jours j'ai réalisé deux rêves. Le premier, c'était mon fantasme photographique. Le p'tit arbre sur la route du lycée. Celui que je vois deux fois par jour, cinq fois par semaine, et qui m'a tapé dans l'oeil dès le début de l'année scolaire, triangulaire sur sa petite colline. Tout au long des saisons, j'ai vu son feuillage changer de couleur, puis tomber, puis ses branches se recouvrir de neige, et réssuciter. J'me disais "Quand j'aurais le permis, j'irai le prendre en photo par tous les temps." Je n'ai pas eu besoin d'attendre deux ans et demi. Luc m'a fourni l'opportunité. On a d'abord mangé comme des gros (tiramisu-thé-p'tits gâteaux) et je l'ai entraîné là-bas, dans les hautes herbes au coucher de soleil. On a fait l'aller-retour rien que pour avoir la lumière. Et je n'ai pas été déçue. Pause thé dans les prés. Faut-il vraiment un endroit pour siroter son thé ? L'idée était absurde, et c'est cela qui nous a plu.

Dimanche 11 mai 2008 à 15:34

Comment dire. Je suis entrée hier matin dans une maison qui possédait plus qu'une ambiance ; une âme. Tout me plaisait chez Camille, ça sentait déjà la féérie. Même dans les greniers du garage. Et puis chez elle on peut marcher sur le toît. Et Maxime souriait déjà. Après un charmant déballage de cadeau "Tu peux y aller, t'as pas encore fini !" et un repas de gros (pour changer), débarquement du Maxime numéro 2. "Camille tu me montrera de nouveau ton cadeau pour voir si il est encore entier ?" Le soleil tapait fort cet après-midi là, même à l'ombre, puis la bière, on sait très bien que ça désaltère pas (ha ha les amis je ne pourrais plus jamais me défendre en disant que je n'ai jamais bu une bière entière de ma vie, genre l'exploit j'suis une alcolo maintenant (que les gens qui ne comprennent pas l'ironie tournent la page)). J'ai encore forgé mon caractère en suivant à contre-coeur le couple meneur sur un sentier sombre et boueux et interminable entre la Thur et la montagne, la nuit. Et encore, on avait échappé aux esprits du parc pour enfant sans éclairage (lui aussi) accompagnés du chant de la chouette. "Bon en fin de compte vous êtes pas si méchant que ça, vous nous avez emmenés là où on s'est rencontrés". Et puis il y a eu la nuit, la vrai nuit, celle où le soleil est vraiment couché et que les étoiles brillent au plafond. Une nuit OhMonDieuOhPutainWhaouh. Petite lumière rouge. M'endormir tout contre lui, le regarder dormir et me réveiller dans ses bras. Si cela est encore possible, je crois que je l'aime encore plus. Je suis plus amoureuse que jamais.

Samedi 10 mai 2008 à 9:35

Passage éclair, juste pour remercier Luc de cette superbe séance photo d'hier, avant de passer à la suite du programme.

Les photos ratées ne sont pas toujours à jeter.

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