Mercredi 7 mai 2008 à 18:26

07 Novembre 2007 - 07 Mai 2008

Aujourd'hui est un jour ensoleillé comme les autres, ou presque. C'est le jour de nos 6 mois. Nos 6 mois de relation, nos 6 mois d'amour. Une demi-année de bonheur avec lui. Avec toi. Déjà. Putain c'que le temps passe vite. Je me vois encore, il y a deux mois, dire à Diane que j'étais invitée à dormir avec toi deux mois plus tard. Elle a émis un "Si vous êtes encore ensemble d'ici là, on sait jamais..." Si, on savait. Oh si, je savais. Je savais que deux mois, trois mois, quatre mois, cinq, six plus tard, nous nous aimerions toujours. En six mois, l'intensité de notre amour n'a jamais diminué. Toujours autant de belles choses, toujours autant d'engueulades (avec tout c'qu'on s'est déjà envoyé, si on est toujours ensemble, c'est pas pour rien). Même Monsieur K. l'a dit quand on s'est mouchés en choeur. C'est le destin, c'est tout. Les gens pourraient parfois s'demander c'qu'on fout ensemble mais en fait on est le couple parfait. Reste mon parfait, s'il-te-plaît. Encore longtemps, longtemps, longtemps. Je veux t'aimer encore. Je t'aime.

Lundi 5 mai 2008 à 19:21

Pantalon de toile rouge, chemisier noir, je ressentais le printemps par tous les sens. Je parle des cinq sens, ceux dont je suis particulièrement friande. C'est un peu bizarre de dire qu'on est friand de ses sens mais dire que je suis sensuelle ne collerait pas avec la définition que j'essaye de donner. Enfin bref. Les vacances sont finies, les profs râlent tous après notre dissipation, c'est la dernière ligne droite, gna gna gna. Recroiser les Embrunais et se dire qu'on revient de là-bas, les entendre chanter Marie-Madeleine une fois de plus, il est difficile de mettre fin aux bonnes choses. Narguer nos terminaux "Un bac blanc ? Mais quel bac blanc ? On a eu des bacs blancs nous ?" avec nos bronzages de la mort-qui-tue. Transpirant la bonne humeur, le fou rire est au coin de chaque porte. Et ils voudraient peut être qu'on soit concentrés avec tout ce soleil. J'a déjà tellement de choses prévues cette semaine. Ballade, photos avec Luc, anniversaire de Camille et nuit avec mon chéri, et Rachamarkt traditionnel. Ca va être bien. Pas le temps de s'ennuyer, juste le temps de vivre.

Et j'ai oublié une chose dans la liste des choses faites à Embrun : épilation. Féminine et masculine. Et puis il y avait aussi cette superbe écharde plantée dans le pied de Diane, heureusement qu'y avait Docteur Maxime. Mmmh, Docteur Maxime.

599ème artilcle. Je garde le 600ème pour un événement avec un autre 6.

Lundi 5 mai 2008 à 18:47

Peur de surprendre, peur de choquer, peur de décevoir. Peur d'être méconnue. Peur de faire peur. C'est comme un risque que je prends en t'ouvrant mes portes. J'ai longtemps songé à le faire, mais j'ai toujours hésité. Tout n'est pas politiquement correct, ici. Et pourtant, hors de question de supprimer un seul article de Citron-ciboulette. Tu ne le sais pas encore, mais c'est comme une partie de moi. Et qui dit partie de moi dit forcément partie qui ne s'exprime pas toujours de la même manière que la Lise en chair et en os. Je ne veux rien regretter, je ne veux rien jeter. C'est tout ce que j'ai vécu pendant deux ans qui est stocké là. Si je le perds, je perds mon passé. L'écriture comme une drogue, je ne peux me passer de ces racontages de vie inutiles et bien souvent, impudiques. Mais depuis deux ans que je suis installée là, j'ai accumulé les souvenirs, j'ai mes habitudes, mes visiteurs. Sache que tout ce que j'ai affiché ici en général n'a eu pour but que de faire joli. Une ou deux fois seulement, j'ai cherché à choquer, frapper vraiment, histoire de fermer une bonne fois pour toutes les grandes gueules. Ces articles ne sont pas ceux dont je suis le plus fière, mais j'ai décidé d'assumer tout ce que j'ai dit ou fait. Supprimer, ce serait reconnaître que je ne suis pas aussi forte que j'ai voulu le paraître. Voilà, tu es prévenu, tu sauras tout de ma vie, et pas forcément ce que tu voudrais savoir.Tu seras peut être surpris aussi de voir que des fois, je raconte même ta vie. J'espère que tu ne m'en vouras pas pour ça. Je m'excuse à l'avance pour les conneries mal exprimées que j'aurais pu oublier. A tes (mes) risques et périls, ne prend pas peur. Après tout, tu m'as tant de fois fait confiance pour garder certaines choses pour moi, c'est ton tour maintenant. Je reste la même Lise que celle que j'ai toujours été, même si à 16 ans, j'ai parfois les sujets de conversation d'une adolescente de 16 ans.

Bienvenue dans mon monde, Luc.

Lundi 5 mai 2008 à 18:01

Allez, un peu de blogisme avant d'entamer les devoirs. Je suis coincée, en ce dimanche ensoleillé, quelque part entre Embrun et le retour à l'école. Luc a besoin qu'on veille sur lui, et même moi, sa nièce de 13 ans sa cadette, je m'y mets. Parce que je ne peux pas le laisser poser tranquillement chez un pédé inconnu (non pas que je sois homophobe, bien au contraire, mais ce mec n'est pas un photographe professionnel et même si Luc est majeur et vacciné, on imagine les pires scénarios), qui sait ce qu'on lui proposera après les photos, tourner dans un film de cul ? Je dis ça parce que j'ai vu le blog du mec et qu'il n'inspire confiance à personne dans la famille. Pas même à Luc, mais il a besoin de s'occuper, il a envie de photos, alors il fonce tête baissée. Alors je lui ai dit que la prochaine fois, ce sera moi la photographe. Pas besoin de prendre de risques pour réparer son petit coeur meurtri. Mon oncle a un blog de déprimé. Et de narcissique aussi. Il y a quelque chose de dommage quand on grandit, c'est de prendre conscience des défauts des gens qu'on a toujours énormément aimé. Etre déçue par celui qui était le premier homme de ma vie, c'est assez dur à prendre. Mais tant pis, je l'aime quand même, mon deuxième homme préféré, et même si je suis maladroite et ridicule avec mon cailloux contre les troubles du sommeil, je le laisserai pas dans sa merde tout seul. C'est la p'tite qui veille sur le grand.

 

J'ai envie de soleil, de chaleur et de vie avec celui qui a pris la place de premier homme préféré dans mon coeur.

 

Dimanche 4 mai 2008 à 12:54

Allez, un peu de blogisme avant d'entamer les devoirs. Je suis coincée, en ce dimanche ensoleillé, quelque part entre Embrun et le retour à l'école. Luc a besoin qu'on veille sur lui, et même moi, sa nièce de 13 ans sa cadette, je m'y mets. Parce que je ne peux pas le laisser poser tranquillement chez un pédé inconnu (non pas que je sois homophobe, bien au contraire, mais ce mec n'est pas un photographe professionnel et même si Luc est majeur et vacciné, on imagine les pires scénarios), qui sait ce qu'on lui proposera après les photos ? Je dis ça parce que j'ai vu le blog du mec et les liens pour les plus de 18 ans qu'il y a dessus et ça n'inspire confiance à personne dans la famille. Peut être même pas à Luc, mais il a besoin de s'occuper, il a envie de photos, alors il fonce. Alors je lui ai dit que la prochaine fois, ce sera moi la photographe. Pas besoin de prendre de risques pour réparer son petit coeur meurtri. Mon oncle a un blog de narcissique, un peu comme moi, quoi. C'est p't'être pour ça qu'je l'aime. Et même si je suis maladroite et ridicule avec mon cailloux contre les troubles du sommeil, je le laisserai pas dans sa merde tout seul. C'est au tour de la p'tite de veiller sur le grand.

J'ai envie de soleil, de chaleur et de vie avec celui qui a pris la place de premier homme préféré dans mon coeur.

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