Lundi 23 juin 2008 à 17:45

Alors je m'éclate toute seule à écouter La Ferme des Fatals Picards... Bonjour les enfants, c'est l'ami Rémi (?) avec vous, et nous allons faire une chanson qui s'appelle La Ferme. 1, 2, 1, 2, 3, 4, toutouloutouloutoutoulou, c'est l'introduction, toutouloutouloutoulou... D'abord y a Hector le castor et Edouard le canard, et José le sanglier, et Charlotte la marmotte, et Mireille l'abeille... Ils ont aussi avec eux des animaux moins sympathiques, qui ne mériteraient pas d'exister si le monde était parfait : il y a Edith le trilobite et Noémie la bactérie, et Hervé le bousier, et Agathe la blatte. Et Fernande le scolopendre et Chantal la mygale, et Annabelle le brotèle et Le Pen la hyène... et Maximilien l'accarien, et Boris la génisse et Félippé la mouche tsé tsé, et Dona le boa et Rocky le poisson-scie. Ils se lancent dans un bras de fer acharné et finalement Rocky bas l'boa. Mais nous nous égarons ! Et nous oublions nos autres amis : Véronica l'annaconda et Yvène la murène, et Milou le hibou et Paulo le corbeau, et Muriel l'hermine et Bernard l'ermite, et Anémone l'Anémone et Sergio l'italien. Oh ! Oh mais regardez là les enfants ! Cachés dans les fourrés il y a aussi Angèle la tourterelle et Arlette la levrette et Arthur le silure et Didier le bourdon... et Quentin la pomme de pin. Ah pute ! Ah putain une pomme de pin qui marche ! Ah mais nooon ! C'est parce que dessous y a Coralie la fourmie, Michael Schenker le scorpion et Yolande la limande et Camille le gorille, et Conan le barbare, et puis Suze la méduse, et Colin le colin, et Bernard l'oiseau. Ah merde il s'est tiré ! Heureusement qu'il reste Yvette la belette et Albin le petit lapin... et Abdoul la moule et Théophile la drosophile, et Caisse d'épargne l'écureuil et Françis Huster le mauvais acteur. Enfin, je dis je m'éclate toute seule, pas vraiment seule, merci à Claire le renard polaire pour cet instant. Et puis vous, râlez pas parce que j'ai écrit beaucoup de bouts de la chanson, il fallait déjà que je fasse un tri parmi les 8 minutes 39 de conneries, c'était pas simple, et le mieux serait de l'écouter en entier, pour ceux qui ne connaissent pas, et ceux qui ont bien besoin de le réentendre. Si si, c'est obligé, et c'est .

Je m'excuse aussi pour toutes les fautes d'orthographe dans les animaux et personnes célèbres.

Lundi 23 juin 2008 à 15:08

Ouais en fait les imperfections rendent plutôt tout imparfait. Quand le pauvre coup de soleil n'en finit plus de piquer sa crise dans mon dos et qu'il m'oblige à rester cloitrée seule chez moi alors qu'à l'heure qu'il est je pourrais être dans les bras de mon chéri. Tout ça pour pas être exposée une minute de plus au soleil. Ou à l'ombre. Parce que même à l'ombre ça crise. Allergie ? Pour changer. Après le pollen, les noisettes qui grattent au fond des oreilles, le néoprène qui fait des boutons, les fruits de toutes sortes dont la nectarine pas mûre qui fait enfler le palais et résonner les battements de coeur derrière mes dents, voilà le SOLEIL ! Ce faux ami...

Lundi 23 juin 2008 à 12:35

Ah, le bonheur est une chose toute simple. Rien de tel, après une bonne baignade chez Léa, qu'une petite soirée avec des gens que j'aime. Pour une fête de la MUSIQUE c'était un peu raté mais les occasions sont rares pour passer des soirées d'été dehors entre amis (et amoureux). Ce samedi soir fut suivi par un dimanche hors du temps et de l'espace. C'est là que je devrais citer les ingrédients du bonheur-qui-est-une-chose-toute-simple : le soleil, un grand jardin tout vert, un parasol, une vieille amie, une piscine à 29°C qui paraît presque fraîche quand on vient de l'extérieur, des transat', de délicieuses glaces maison, des groseilles à portée de main, du thé à la menthe, la journée en maillot de bain (libertééé ! hum...)... et bien sûr, pour que la journée ne soit pas non plus parfaite, quelques putains de coups de soleil qui me grattaient et me grattent encore. Mais si on oublie les imperfections, c'est parfait, non ?

Samedi 21 juin 2008 à 15:29

J'crois qu'en arrivant je voulais écrire plein de trucs, mais en fait j'ai oublié quoi (et j'ai aussi accessoirement perdu tout mon article à la suite d'une manipulation facheuse), peut être que ça parlais d'avenir, d'être prof des écoles quand même vu que de toutes façons je serais aussi ECRIVAIN, que rien foutre en vacances ça redonne de l'ambition, qu'y a des gens dans la blogosphère qui me redonne de l'espoir pour envisager le futur, je sais pas, c'est bizarre, j'ai entamé un bouquin intitulé Lise. où la ponctuation est quasi-inéxistante, c'est assez pénible, ça donne l'impression de lire à toute vitesse, et soudain je freine un grand coup et je fais marche arrière jusqu'au début de la nouvelle proposition (je parle grammaire, là) pour reprendre mon souffle et comprendre un peu ce que je lis, des fois quand je lis des phrases avec des fautes d'orthographe je ne comprends plus leur sens, par exemple quand l'auteur s'est trompé entre "er" et "é", je m'y perds, alors lire deux mots d'affilée qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre est plutôt encombrant, donc si vous avez remarqué que ma phrase ne se finit pas, ne vous plaignez pas, parce qu'au moins vous avez des virgules pour vous dire quand vous arrêter, quand vous pouvez respirer, et les virgules, c'est quand même vachement pratique. Inspirez, expirez. Voilà, comme ça. Bref, je crois que l'article de départ qui s'est volatilisé quelque part sur la toile était un peu mieux que celui-ci, et pour l'anecdote conne, ce matin j'ai pris peur en voyant mes pieds émerger de sous ma couette ; j'avais oublié que Diane m'avait peint les ongles en rouge. Diane est la seule personne sensée que je connaisse qui porte du vernis bleu quelque chose sur les orteils.

Mais en ce moment elle arbore un vernis rose foncé avec des petits pois bleu, merci l'artiste. Et en fait moi j'aime pas trop ses pieds, mais je vous les montre quand même, pour la bonne cause.

Jeudi 19 juin 2008 à 13:08

J'ai réussi ma carbonnara !

(à quelques petits détails près)

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