Vendredi soir bricoleur, entre dix-neuf heures et minuit je n'ai rien fait d'autre, à part manger et me laver, que désosser des écrans d'ordinateurs, les revisser, regarder mon père découper la partie inférieure, les rincer, les laver, les essuyer, coller du scotch sur les bords pour plus de sécurité... Tout en fouillant les étagères pour rassembler trente-et-un livres, écrire mon nom à l'intérieur, dresser leur liste pour quand je voudrais les récupérer, rescencer les idées de textes, trouver un moyen de trimballer mon ordinateur... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour le théâtre !
Couchée à minuit et demi, levée à sept heures moins dix pour le théâtre, un samedi. Nous sommes arrivées à la maison, autrement dit, au lycée, mais le lycée-fantôme, rien que pour nous. C'est fou cette sensation qu'on a alors, que le lycée nous appartient plus qu'à d'autres. J'aime le parcourir dans tous les sens, seule et en chaussettes. Il nous a fallu un temps fou d'installation et de résolution de problèmes techniques, mais j'ai trouvé cette répétition très intéressante. Même si la gestion de la technique est très compliquée, au moins, presque tout est en place maintenant. Et qu'est-ce que c'est bon de ne travailler qu'avec son corps. Let's go to the cocon, c'est l'hiver.
Ayant pris mon repas de midi à quinze heures, j'ai eu l'impression de partir très tôt. Je suis à peine rentrée à la maison que Luc a débarqué, et avec des lunettes en plus, j'ai éclaté de rire quand j'ai ouvert la porte et que je l'ai reconnu. Nous avons pris le thé, il nous a raconté ses dernières nouvelles et puis branle-bas de combat, tout le monde à la douche, on part à Hunnabuhl, commune de Niedermorschwir. Soirée avec les cousins, sympathique. La voix du petit frangin dans mes oreilles à dix heures ce matin l'était un peu moins, vu l'heure à laquelle on s'est couchés et mon cumul de sommeil de la semaine. M'enfin. On va pas parler fatigue, hein. Ni orientation d'ailleurs. Allons plutôt nous promener avec Diane.
Couchée à minuit et demi, levée à sept heures moins dix pour le théâtre, un samedi. Nous sommes arrivées à la maison, autrement dit, au lycée, mais le lycée-fantôme, rien que pour nous. C'est fou cette sensation qu'on a alors, que le lycée nous appartient plus qu'à d'autres. J'aime le parcourir dans tous les sens, seule et en chaussettes. Il nous a fallu un temps fou d'installation et de résolution de problèmes techniques, mais j'ai trouvé cette répétition très intéressante. Même si la gestion de la technique est très compliquée, au moins, presque tout est en place maintenant. Et qu'est-ce que c'est bon de ne travailler qu'avec son corps. Let's go to the cocon, c'est l'hiver.
Ayant pris mon repas de midi à quinze heures, j'ai eu l'impression de partir très tôt. Je suis à peine rentrée à la maison que Luc a débarqué, et avec des lunettes en plus, j'ai éclaté de rire quand j'ai ouvert la porte et que je l'ai reconnu. Nous avons pris le thé, il nous a raconté ses dernières nouvelles et puis branle-bas de combat, tout le monde à la douche, on part à Hunnabuhl, commune de Niedermorschwir. Soirée avec les cousins, sympathique. La voix du petit frangin dans mes oreilles à dix heures ce matin l'était un peu moins, vu l'heure à laquelle on s'est couchés et mon cumul de sommeil de la semaine. M'enfin. On va pas parler fatigue, hein. Ni orientation d'ailleurs. Allons plutôt nous promener avec Diane.
Ma tronche en grand sur les murs.