citron-ciboulette

Tu vas marcher, connard ??? Oups, pardon.

Ce sont quand même celles-ci les plus belles :

Imageshack [petit R entouré] je t'explose. Même que Skyblog ça marche mieux. Plus besoin de réduire les photos, et ça, c'est impeccable pour le postage intensif. A propos. Plus besoin de vous dire où aller pour trouver les photos de cet après-midi là, les amis.

gensbiens

Ne pas oublier :

C'est Bastien

C'est Bastien

C'est Bastien

C'est Bastien

(remis à la mode d'aujourd'hui)

Et enfin je n'ai plus qu'une chose à dire :

A nos morts.

Amen.

Mais non je ne suis pas partie ! Tu me diras, pas d'article en deux jours, c'est pas bien méchant ! C'est juste que quand les cours reprennent je ne peux pas vous (te) pondre un article par jour, c'est tout (tout cela prononcé sur un ton très amical, don't worry). En tout cas je suis contente du retour de tes commentaires, ça fait toujours plaisir, vraiment ! Figure-toi que j'avais envisagé la solution où tu n'oserais plus prendre la parole à cause de ton blog. Mais ton blog, je ne l'ai pas vu, moi ! Il n'y avait ni d'adresse ni de lien nulle part, ou alors la poussière dans mon oeil droit a pris des dimensions considérables. Alors si tu veux toujours que je viste ben euh... donne moi l'adresse, quoi. Si tu ne veux pas que d'autres gens y accèdent, il y a deux solution (wouh là j'ai élaboré toute une stratégie !). Soit tu mets ton commentaire sur un article en plein milieu du blog là où personne n'ira voir, soit carrément tu cliques sur 'Lui écrire' dans le menu (et comme t'es pas con j'ai pas besoin de préciser que tu m'enverras un mail). C'est pas bien compliqué, si ?

Eh oui, encore un article qui n'est consacré qu'à Marco. Ben quoi, il faut bien communiquer avec ses visiteurs ! Surtout des visiteurs aussi enthousiastes.

Puis j'espère que tu lis les tittres...

Je me posais une question, et je ne suis pas la seule :

Mais où est passé Marco ?

*

Nouvelle note du menu, tirée de 'Djembé Man' des Fatals : Ou Karaoké avec sa belle-mère, ou Goulag, ou prison à vie sans eau.

"La petite mousse qui entoure le petit sapinou qui pousse" Les jours fériés, c'est comme les dimanche ; les parents n'ont qu'une chose en tête : aller se promener. La faune de Masevaux est impressionante : j'ai vu 5 souris, et mon p'tit frangin a adopté Oscar le lézard. Ce dernier fermait les yeux quand on le carressait et n'avait aucune envie de partir de la main de son nouveau pote.

Bien le bonjour, c'est le mois de mai. Eh merde. Déjà. C'est fou comme le temps passe vite, comme on ressent à nouveau tous ces détails, la petite veste kaki, les pompes en cuir au placard, de la MUSEique dans les oreilles et un sourire sur les lèvres du à l'amour. Va pour la veste, les pompes et MUSE, mais le reste ne passera pas. Il restera coincé quelque part au fond de ma gorge, comme un cri silencieux qui ne peut pas s'échapper. Mais qui le voudrait, pourtant. Il voudrait tellement s'envoler, encore une fois, mais c'est trop tard. Ses ailes ont brûlé depuis bien longtemps.