Vendredi 25 mai 2007 à 19:02

C'était notre première semaine de cours complète depuis, oh, bien trois bons mois. Jorgi veut déjà nous donner d'autres contrôles avant de corriger les derniers. Oui, ceux qu'on a mis deux mois à commencer et trois séances à finir. Die Berlin-Blockade mon cul oui.

Cétait notre première semaine aussi chaude, aussi ensoleillée. De l'herbe à tout-va, et la vieille Chelmi qui vient nous chasser. Un espace vert ? Mais quel espace vert ? Regarde, nous aussi on est des plantes. Une semaine de rires sous les buissons, de rires n'importe où, en fait. J't'en foutrais moi, quelques gouttes, j't'ai rien demandé, pouffiasse. En fait je ne sais pas qui m'a aspergée. Il faut dire que "han les bonnasses" elles aiment les batailles d'eau quand elles portent leurs pantalons blancs. Ou alors la mini-jupe-si-tu-te-baisses-on-voit-ton-cul. C'est le défilé de mode des minis-putes. Mais on s'en fout. On a d'autres choses plus importantes à faire. Se foutre de leur gueule par exemple...Javaaa...

Get the cool, get the cool shoeshine...

C'est ça, le soleil. Ca rend content. Et la joie est contagieuse.

Pique-nique dans une propriété privée. "Aaah un tracteeeur !"

Mercredi 23 mai 2007 à 12:17

J-31. Paris. Muse. Il va falloir que je me mette à réviser. Commencer par imprimer les paroles d'Hullabaloo. J'aurais envie de balancer des faits divers dans tous les sens, mais ça n'en aurait plus aucun. Fêtons ensemble mes 6 mois de célibat (ha ha). Le jour viendra où je pourrai en mourir de rire. Aujourd'hui ? Si vous voulez. On verra bien. Je revois encore Sandy me poser ces questions stupides 'Tu l'aimes encore ?' [Non je l'ai oublié pendant les 2 heures de physique], son regard voyeuro-compréhensif. Son (gros) manque de tact 'En tout cas moi j'espère que ça va durer avec mon gars' [Je te souhaite tout le contraire], 'Tournes la page'. Cent mille raisons de tourner la page, quand je pense que Suzy est restée à la plage. Maintenant ? Si vous voulez. On verra bien. Attendre encore un jour ou deux. Ou quatre. Peut être. Vous verrez. Attendez. J'attendrais.

Mon chemisier fit cliclicliclic et je me retrouvai en soutien-gorge au milieu de la cour.

Il y a des jours où on passe inaperçu, d'autres moins.

Dimanche 20 mai 2007 à 17:23

Attends-toi à c'que j'me traîne à tes pieds, J'ai constaté que même un silence de toi, Pouvait pousser mon rire à mourir.

 Attends-toi, à c'que j'me traîne à tes pieds, En attendant je sais que le jour viendra, Où je pourrais en mourir de rire.

Elle est là. La lumière. Au bout, tout au bout du tunnel. Et la semaine prochaine j'en mourrerais de rire.

See you later at the 27th May.

Samedi 19 mai 2007 à 12:23

Yesterday, love ouase seutch eune isi gèïme tout plèï

No aïe nide euh plèïce tout haïde ohouèï

Oh aïe bilive ine yesterday.

Waïe chie ade tout go a donte no chie whouldeunete sèï

Aïe cède somefingz ouang no aïe longue fort yesterday hè hè hè hè....

Je propose de pendre la prof de musique. Vous vous joignez à moi ? Allez s'il-vous-plaît, c'est pour une bonne cause. Ah ben voilà j'me disais bien qu'il devrait y avoir plus de personnes motivées. Ou alors on la jette par la fenêtre, ce que l'on n'a pas fait avec la chaise qu'elle cherchait tant. Je ne supporte plus ni sa voix aiguë, ni ses cours, ni son terrible accent français, ni ses auditions.

Des volontaires, une corde/une fenêtre, et le tour est joué.

Très franchement, moi aussi je trouve que je ne ressemble à rien sur cette photo. Cet air de shootée et mes boutons pleins la gueule (sortant en plus de chez l'esthéticienne qui m'avait trouvé des points noirs à charcuter n'importe où), en fait cet photo est un accident. Je suis pour dire vrai assez fana des accidents, même si, certes, le résultat fait parfois peur. Je n'ai pas voulu la retoucher. Au moins, mon air soupirant n'est pas fait exprès et c'est sûrement pour ça que je la poste. Je la laisse à vos regards critiques.

Et la première chose que dit mon frère en me voyant fut un terrible "NOOOON" de désespoir parce que l'ordi était déjà occupé.

Vendredi 18 mai 2007 à 18:11

Heureuse nouvelle, j'ai la gorge toute gonflée et le petit cachet à la pomme ne fait pas effet (immédiat). Une allergie aux amandes. Je vous parie que l'année prochaine je ne pourrais plus manger de pommes. Non mais c'est vrai quoi, ça doit faire deux ans que j'ai commencé à être allergique pour la première fois, et voilà que la liste s'allonge. Pitié je ne veux pas finir comme Elisa. Petite parenthèse.

When I lose the control, you keep the control. When you keep the control, I lose the control.

Mon inspiration s'est perdue je-ne-sais-où, loin avec mes pensées, mes rêves et mes idées. Il ne me reste que des idéaux. Enfin, je crois. J'ai oublié la cadence. Envolée. Et allez savoir pourquoi. Je les regarde encore et je souris, et je ne peux plus faire aucune prévision. Les informations ne rentrent plus dans ma tête. Les seuls mots qui y resonnent sont ceux des chansons que j'écoute en boucle. Dans une autre vie, le lendemain matin, je suis un phénomène, je suis un magicien. Envolée, vous dis-je. Non pas que le vide soit triste, non il permet d'être comblé par un petit rien, non, il est juste inquiétant. Ou devrais-je peut être dire réjouissant. Pour certains d'entre vous sûrement. En tout cas il est indécis et fait en sorte que tout soit possible. C'est trop vague pour moi qui voudrait pouvoir tout diriger moi même. Etre totalement maître de moi. Vous me direz, la vie n'aurait alors plus d'intérêt.

J'suis innocent vous dis-je
C'est pas moi c'est ma soeur
Même s'il y a plus vraiment
De machine à vapeur
Quand on y est pour rien, qu'on y est pour personne
On peut toujours essayer
L'amour au téléphone

et vous saurez quand je saurai...

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