Mardi 28 novembre 2006 à 19:13

P'tain j'me rappelais pas que j'écrivais des trucs pareils.

" Tu dois penser au bonheur. A tout ce qui te rend heureuse.

Après tout, il y a toujours des petits plaisirs quelque part. Un rayon de soleil, du ciel bleu, un sourire, un câlin, un étincelle dans les yeux, des amis, des gens qu'on aime.

Si, tu peux trouver le bonheur. En te forçant. En y croyant. En le cherchant au plus profond de tout. En rendant n'importe quoi le plus joyeux possible. Et, bien évidemment, en cherchant plus loin que lui. En acceptant de rire avec les autres.

Fais ce que je t'ai dit : rend TOI MEME ta vie heureuse. Ris. Souris. Tout simplement, vis.

* Parce que la vie vaut bien plus qu'on ne le croit.* "

Tu sais Lulu, je ne suis pas encore à ce stade. D'accord, j'imaginais ça en pire. Je croyais que je vivrais la même chose, mais non. Non, l'année dernière, c'était bien différent. L'année dernière, mon lui* qui était un autre lui* ne me parlait plus. L'année dernière, je me laissais marcher sur les pieds, je me faisais prendre à mes propres pièges. Et puis j'en rajoutais, alors ça débordais, et ma tête ne suffisait plus pour tout contenir. On sait tous très bien où ça a finit. J'en vois encore une briller dans la lumière, mais il ne reste presque plus de traces.

Non, cette année, je le savais. Je savais que ça allait arriver. La seule chose sur laquelle je me trompais, c'était sur le temps que ça mettrais pour se défaire. En tous cas, j'avais de moins en moins de droits envers lui. <>, a-t-il dit. En fait, maintenant, ce n'est pas énormément pire qu'avant. Je disais << On s'entend bien mais on ne se touche presque plus. >>. Maintenant, c'est pareil, sauf que je n'ai plus du tout le droit de le toucher. Ca ne veut pas dire pour autant que c'est agréable. C'est juste que j'éprouvais déjà ce manque de sensualité avant, ça n'a donc pas fait de grand changement. J'étais déjà morte, de toute façon. Les petites piques idiotes continuent. Faire semblant c'est pas toujours marrant (ça l'est jamais d'ailleurs). Je peux juste me rincer les yeux (raaaaah putain aujourd'hui.... {bave}....pardon). J'arrête là. Je pourrais dire encore tant de choses...

 Bouah je veux regoûter à ses lèves...       je l'aime, je l'aime, je l'aime, je l'aime merde....

Mardi 28 novembre 2006 à 18:49

- Joyeux anniversaire !

- Mais chut euuuuh bande d'idiots bêtes ! ....

Genre le plan foireux.

Mais qui donc a eu l'idée de se taire avant la cantine ?

Il faut dire qu'elle nous avait bien fait sous-entendre, en faisant genre qu'elle ne le veut pas qu'on le fasse mais pour le dire quand même et que ça nous donne une idée comme si c'était notre idée et pas la sienne sinon c'est plus une surprise...Bref, elle a eu ce qu'elle voulait, c'est à dire un retentissant :

Joyeeux Zaaaaniiiiveeersaaiiiire,

Joyeuuux Zaaaniiiiveeersaaaire,

Joyeux ZAAAAniiiveeersaiiire CHLOE,

Joyeeux ZA-NIII-VEEER-SAAAAIRE

Je t'aime ma Cloïchounanounette (ne me demandez pas ce que j'ai avec ce mot...)

Ce qui est drôle, c'est que Clo a 14 ans aujourd'hui...et moi j'en ai 15 dans 3 mois. (Bon d'accord c'est pas drôle je me tais...)

Dimanche 26 novembre 2006 à 11:53

Il était une fois une petite princesse, c'était la plus belle princesse du monde. Un jour, elle alla se promener dans les bois :

Elle s'allongea sur l'herbe verte d'une clairière, et s'endormit...

Seulement, un sombre personnage tout de noir vêtu (bah oui si il est sombre) était tapi dans la forêt (j'arrête ici avec les fonds d'abres). C'était une méchante sorcière jalouse de la beauté de la princesse.

Cette méchante sorcière se précipita vers la petite princesse (inutile de vous dire que ses intentions étaient mauvaises)...

... et tua la petite princesse avec sa plume empoisonnée !

[La scène suivante a été censurée en raison de sa violence (dit plutôt que la photo était pourrie...)]

Mais la princesse était tellement parfaite qu'elle ne pouvait pas mourir. Un pouvoir s'éveilla en elle et elle réssucita :

Elle utilisa son pouvoir pour combattre la sorcière :

la sorcière tomba,

et mourut.

La petite princesse vaicut !

Mon Ade, je l'aime !

Samedi 25 novembre 2006 à 12:03

Tout doux sur ma joue,

présence dans mon cou.

*

Putain c'que je t'aime.

Vendredi 24 novembre 2006 à 17:47

Jeudi 23 novembre 2006.      (J-4, disais-je à Juliette)

Voilà, c'est fini.

La journée commençait bien. J'avais failli oublier mon gâteau. 7 h 35, le bus de Burnnhaupt me passe sous le nez et Niko ne se tourne pas. Je regarde passer le bus toute seule devant mon passage piéton avec mon gâteau dans les mains. On n'aurait pas pu trouver de meilleur cliché. Sous-entendus bizarres en anglais.

<< J'aime bien le verbe frozen. Il sonne bien.

- Il faut y comprendre quelque chose ?

- Pourquoi t'espère y comprendre quoi ?

- Oh, tu sais, j'espère plus rien.>>

-

La peur se lisait dans nos yeux.

<< Tu fais la même tête que moi [c'est mauvais signe...]

- Hum. Euh...

- Oui ?  [ach]

- Euh...

- ... [argh non pitié dis moi quelque chose d'HS]

- Je sais pas comment te le dire...

- Dire quoi ? [non non non pitié pas ça tout sauf ça...]

- Je suis désolé...>>

-

J'ai passé toute la 1ère heure de physique à pleurer. Jamais une heure de cours n'était passée aussi vite. La 2ème, j'étais dans le noir. J'avais la tête brûlante, mais le corps gelé. Lorsque j'écartais le rideau de cheveux qui me tombait dans les yeux, le tableau m'apparaissait tout blanc. Je ne voyais plus rien.

"Je parie 50 € que dans 3 mois Niko aura complètement changé de bord" a dit un jour Chloé. Il ne t'en a fallu que 2, qui l'aurait cru... Tu es tellement unique, jamais je ne retrouverai quelqu'un comme toi. Tu étais l'homme de ma vie, tu étais ce que j'avais de plus précieux. J'ai l'impression que les personnes qu'on aime le plus sont celles que l'on peut perdre le plus facilement. Je sais que je suis partie pour 1 an de reconstruction, 1 an de ténèbres. Jamais personne ne m'a autant fait aimer la vie que toi, c'est toi qui m'en a redonné le goût. Maintenant je meurs pour la deuxième fois. Je redescend dans les abîmes, abîmes desquelles tu m'as tiré il y a 6 mois.

-

"ce sale pédé de merde !", "je t'ai jamais vu dans un état pareil", "t'as le regard vide", "je croyais que t'allais tomber", "on s'est dit...", "j'avais du mal à te faire avancer", "désolé" m'a-t-on dit...

Tu me manques déjà tellement...

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