Samedi 28 octobre 2006 à 16:05

Eh eh eh ! Hier c'était le 27 ! Ben oui et alors ? Nan mais j'y crois pas même ma débile de voisine est au courant...

et de 5!

Raah, toi. Toi. TOI. T'sais que j'ai eu peur pendant ces 2 jours de silence ? Noeud dans le ventre le matin, noeud dans le ventre le soir. Mais maintenant je sais que la vie continue avec toi ! J'étais tellement contente de te voir hier (pourtant tu me diras ça faisait que 3 jours qu'on ne s'était pas vus.) Bah...

Je t'aime mon chéri

Même avec ta tête de faux shooté d'hier soir chantant Titanic, j'arrive encore à te trouver beau.

*

[Parce que je vais encore vous faire chier longtemps avec des articles de ce genre tout les 27 du mois !]

Youpiiiiiii

Samedi 28 octobre 2006 à 15:52

Coco c'est une fille gentille. TRES gentille. Dans mon bordel de début de vacances, c'est avec elle que je passe les 3/4 de mon temps.

Il ne faut pas chercher à comprendre, mais il parait qu'il y a un hérisson là-dedans.

Petit poussin prend son bain     (????)

Puis nous essayâmes de me prendre en photo en train de sauter. Il faut dire que le champ c'était pas pratique pour ça donc il nous a fallu au moins une vingtaine de photos pour y arriver (photos que je vous épargnerais). N'empêche qu'y en a une qui me plait énormément tellement elle reflète le mouvement de mes jambes qui s'envolent :

Magnifique n'est-ce pas ?

N'ayant pas les droits d'auteurs pour les photos des chats, je laisserais celles-ci de côté.

Samedi 28 octobre 2006 à 15:31

La fête pour l'anniv à Popo B, c'était bien ! Pour voir toutes les photos, c'est .

Nous étions toutes en rayé.

Mercredi 25 octobre 2006 à 11:21

Finalement je n'irai pas chez Claire parce que c'est trop loin et que mes parents refusent de me foutre dans le train. La distance ne fait pas tout, en fait, puisque je n'irai pas non plus dormir chez Coralie qui habite à trois maisons de la mienne, pour cause de surveillance du p'tit frangin. Et je partirai de chez Pauline à 21h vendredi. Mon père jouit de son pouvoir exécutif. Parce que je n'ai soi-disant aucune diplomatie et que je n'ai pas présentée la chose de manière assez plaisante pour lui, Monsieur décide tout simplement que je n'y ai pas droit. Rien qu'à ma façon de proposer des solutions pour le p'tit frangin, il a envie de me foutre des baffes. Dans ces cas de "murmures", comme on dit chez nous, je me dis que mon père est pire que con. Je ne pense qu'à moi, jamais aux autres, je ne cherche que du loisir, alors que ce n'est pas les vacances pour tout le monde et eux ils ne sont là que pour faire le taxi, préparer la bouffe et m'offrir un toît pour dormir. Quelle belle vision des choses. Je les entends en bas, qui parlent de moi << Moi ça me dérange pas qu'elle aille dormir chez Coralie du moment qu'elle rentre le matin. - Moi non plus mais elle avait qu'à y penser plus tôt, et réfléchir avant de parler ! C'est pas toujours à moi de proposer des solutions ! Rien qu'à sa façon de parler j'ai juste envie de lui dire non tellement ça m'énerve ! - Il faut qu'elle comprenne qu'elle peut pas toujours avoir tout ce qu'elle veut...>> C'est à croire qu'ils le font exprès parce qu'ils savent que ma porte est ouverte et que j'écoute. Et là je craque. J'en ai marre, j'en ai marre, j'en ai marre. Ils ne me laissent même pas le droit de me vider de toute émotion, de tout sentiment quand je rentre à la maison. Moi qui voudrait me laver de toute humeur, il faut qu'ils m'achèvent là où je préférerais qu'on me foute enfin la paix. Depuis qu'on a repris cette année, je ne vis plus, chez moi. Je passe mes mercredis à ne rien faire, je ne ressens plus rien tellement je suis lessivée, et ils voudraient encore que je reste là comme ça dans mon coin pendant toutes les vacances. Je vais passer mon temps à dormir et à faire mes devoirs. Merde on a l'âge de vivre ! Si on ne profite pas maintenant de notre insouciance, quand le fera-t-on ? Après on me dit que je réfléchis trop comme une adulte. Alors qu'eux ils en voudraient encore plus. Ils ne me laissent même pas le droit d'être débile comme le veux mon âge. J'écoute Pink Water en boucle sur mon mp3. J'en ai marre de pleurer. D'habitude l'écriture m'assèche complètement, mais cette fois je crois bien qu'il faut que ça sorte. je n'en peux plus. Vivement que l'hiver passe. Je crois que je vais hiberner. Peut être alors que je trouverais la paix.

"Clo·$26lll·$41 Le bonheur joue a cache cache avec moi ...·$26lll·$1 dit :

Si ton état dépressionnaire est grave on peut se voir cette ap ^^

lizzz [Ecosse powAa] [Alice & June] dit :

mon état n'est pas vraiment dépressionaire

lizzz [Ecosse powAa] [Alice & June] dit :

à la maison j'ai même pas d'état"

C'est bien ça le pire.

*

 [Ce n'est pas parce que la chanson est belle mais parce que les paroles expriment tout haut ce que je pense tout bas]

Mardi 24 octobre 2006 à 19:01

J'ai écouté Alice, j'ai écouté June. Je recommence Alice. Je veux écouter encore et encore. Indo c'est érotique à souhait. Psycho-dépressif. Ca fait du bien mais ça fait mal. Lulu je t'envie. J'envie beaucoup de monde en ce moment. Ma théorie sur l'hiver perdure. Quand il commence à faire froid, les relations humaines se refroidissent aussi. Toujours aussi vrai et pourtant... Même Florian a voulu me dire au revoir. Florian ! Oui, mon ex a qui je n'adresse même plus la parole. Et toi tu serais parti comme ça alors que t'es sencé être puni ces vancances. T'aurais pas pensé une petite seconde à moi. Y a des gens qui me font flipper en disant des choses pas très joyeuses et d'autres qui ne savent tout simplement  pas quoi dire. Je préfère encore ceux qui se taisent. Parce que dans tout ça il n'y a aucune parole rassurante. Même les tiennes me font peur. Oui j'ai peur. Je déteste ça. J'ai envie de frapper plein de gens. De défigurer B. pour qu'il ne soit plus beau. Peut être alors que vous passerez moins vos journées en parfaite adoration devant lui. De plein de choses que je n'oserais pas écrire. Oh oui ça serait encore pire, tellement pire...

Toi sur moi
Nous ou rien
J'ai tant de raisons de me perdre
Je ne sais plus comment faire
Comment revenir dans un pays
Qu'on n'atteint jamais

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