Lise in white satin dit :
*Bon allez j'y vais mon chou.
NiKO dit :
*bisous ma grosse fluchteuche
Lise in white satin dit :
*?
NiKO dit :
*c'est mignon et affectif
Lise in white satin dit :
*Ah.
Lundi 28 septembre 2009 à 20:58
Lise in white satin dit :
*Bon allez j'y vais mon chou.
NiKO dit :
*bisous ma grosse fluchteuche
Lise in white satin dit :
*?
NiKO dit :
*c'est mignon et affectif
Lise in white satin dit :
*Ah.
Mardi 1er septembre 2009 à 12:38
Vendredi 28 août 2009 à 12:08
Vendredi 10 juillet 2009 à 11:38
Pour une semaine de vacances, c'est une semaine de vacances. Lundi, nuit chez Diane après la piscine et le volley avec des inconnus, mardi retour à la crêperie, mercredi remémoration de The Doors en VO, hier piscine avec eux, soirée chez Erika, et ce soir, châlet. La nuit sera fraîche, et moi je ne le serais pas du tout demain matin. Dimanche, nous emmenons mon frangin en Suisse. J'aime savoir que je peux être complètement exténuée et prendre tout le temps nécessaire pour me reposer par la suite. C'est ça, les vacances. Profiter de la jeunesse de nos corps pour dérègler notre horloge interne. Cela ne m'étonnerait pas que je sois malade demain, après la soirée qui s'annonce et l'après-midi d'hier. Nous sommes sortis dans le vent tous mouillés, et nous avons ri ri ri. Enchaîné les descentes de tobogan qui démolissent les fesses. Nous pleurions de rire à l'arrivée de la première descente, nous noyant à moitié, nous entassant les uns sur les autres, secoués par les remous, incapables de sortir de nos cinquante centimètres d'eau. Jean avait acheté un maillot de bain spécialement pour l'occasion, Mélanie avait apporté un appareil jetable qui va sous l'eau. Je me serais tuée de ne pas avoir eu la même idée, des photos sous l'eau, non mais vous vous rendez compte ? Et nous sommes allés plonger, braillant des insanités avant de sauter les cinq mètres, chacun une phrase de son texte à tour de rôle, en laissant la surprise de la réplique. Il y avait des enfants dans le bassin, alors je prenais soin de choisir des phrases sans pénis et sans vagin, sans préliminaires ni orgasmes. Les mecs étaient peut être moins subtils ; Bruti a parlé de phallus alors qu'au début de l'année il ne comprenait pas ce mot, Jean a hurlé "MON SEXE EST HABITE PAR UNE FORCE QUI ME DEPASSE" avant de se jeter à l'eau. En ce qui concerne Quentin, la synchronisation pour la censure était parfaite : "C'est bien agréable de se mastur...PLOUF !" Encore un tas de délires débiles à notre actif, et des coups de soleil aussi. Qui l'aurait cru, le ciel était couvert de nuages. J'ai dû roussir lorsqu'on se musclait les cuisses sur le tape-cul (j'ai appris un nouveau mot formidable)(en fin de compte peut être que c'est ça qui m'a massacré le derrière). Certains d'entre nous ont donc viré écrevisse, mais il faisait froid alors nous sommes partis au bout de quelques heures. Mélanie a probablement effrayé les autres dames dans les douches en récitant l'alphabet du sexe masculin "Petit bout, petit oiseau, pine, pipeau, poignard, poilu, poireau". Tout le monde chante dans les cabines, impossible de passer inaperçus. Dans ces cas là, je me dit que ce n'est pas pour rien qu'on est une troupe de théâtre.
La soirée s'est prolongée chez Erika, autour de pizzas et de tartes flambées, de vieux films de théâtre et du chat qui ne sait pas miauler parce qu'il est sourd. Profiter au maximum. Nous n'avons même pas pensé à nous serrer fort au cas où on ne se reverrai pas avant longtemps. Ce soir peut être ? J'aimerais que les vacances soient tout le temps à l'image de cette semaine. Je vous aime. Quelqu'un a vu ma conscience ?
Mardi 30 juin 2009 à 12:58
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