Je suis sûre que vous n'avez jamais eu de suçon en forme de coeur sur la joue pour la Saint Valentin.
Youyouyou. Merci pour Bertrand et pour le reste. Je ne devrais rien écrire, tout a déjà été dit.
Jeudi 14 février 2008 à 17:21
Je suis sûre que vous n'avez jamais eu de suçon en forme de coeur sur la joue pour la Saint Valentin.
Youyouyou. Merci pour Bertrand et pour le reste. Je ne devrais rien écrire, tout a déjà été dit.
Vendredi 8 février 2008 à 19:45
J'ai peur de massacrer mes émotions en tentant de les retranscrire. C'était si, si... ! Magnifique. On emploie trop souvent ; on banalise les expressions à consonnance vraiment forte. Et quand il s'agit de parler des émotions, des vraies, les plus belles, les plus intenses, on ne trouve plus nos mots. C'était magnifique, c'était génial. Je ne veux pas que cela sonne creux. Ca se ressent mais c'est inexprimable. Je me tais. Je garde tout ce bonheur sans le salir en voulant l'étaler. On a réussi. On a réussi. Ils ont réussi. J'ai réussi. On a réussi. On a été parfaits. Nous sommes un "on", nous sommes unis, nous avons vécu l'aventure ensemble... pour la continuer. A suivre. Le 2 avril. On sera à nouveau ensemble. Et vous reviendrez nous voir bien sûr, puisque vous nous avez trouvés sublîmes. Merci à tous. A vous les amis, les partenaires, théâtreux de mon coeur, à vous public de choix qui êtes venus rien que pour nous, vous qui nous avez rendus tellement dans vos sourires. HEY, TEACHERS, LEAVE THE KIDS ALONE.
Dimanche 3 février 2008 à 18:32
J'avais trois anniversaires à souhaiter, aujourd'hui. Ca y est, nous sommes rentrés en février, le mois des anniversaires, et j'ai du mal à me mettre dedans. Il faudra me rappeler que j'ai seize ans dans vingt-cinq jours, au cas où j'oublie. Non bien sûr je n'oublierais pas. Mais ce matin (ou plutôt cet après-midi parce que le temps que je prenne mon petit déjeuner, nous étions l'après-midi), j'ai vraiment eu une illumination. Merde ! Le 3 février ! Ade, Alan et Robin ! Février, c'est vraiment le mois où y a des anniversaires partout. Des gens qu'on voit pas souvent, comme des gens importants, comme les trois d'aujourd'hui, comme les dix-neuf ans d'Elodie, les dix-sept de Magali, les seize de Pauline... et après y a plus personne jusqu'à moi. Et puis comme si ça suffisait pas comme jours à compter, y a aussi les rendez-vous chez les spécialistes qui viennent s'incruster ce mois-ci. Dont un cette semaine. Et nos trois mois. Et le spectacle avec les théâtreux. On a pas fini d's'agiter.
Deux des vieux, il y a un an. Je vous aimes. <3
Dimanche 3 février 2008 à 17:58
"Les hippopotames, ils choisissent un autre hippopotame, et ils restent avec le même toute leur vie. C'est merveilleux, non ?"
"I love you, I always loved you."
Vendredi 25 janvier 2008 à 19:27
Le vendredi, nous avons instauré deux traditions. La première, c'est celle du vendredi de semaine B, qui consiste à se rendre au Inter de 11:00 à midi pour acheter des saucissons, des Crunchips et du faux Ice Tea afin de se taper un apéro de gros avant la cantine. Pour la deuxième fois, on a embarqué Charline avec nous, ou plutôt on l'a adoptée, désormais, il y a intérêt à ce qu'elle reste avec nous pour ce moment devenu traditionnel. Charline, c'est une fille que j'ai détestée au premier regard. Rien que des préjugés, tout ça. J'ai vite vu qu'elle cachait sa véritable personnalité derrière sa carrapace, mais je n'arrivais pas à fixer mon opinion. Et c'est venu tout seul. A partir du moment où elle a commencé à me sourire. Ou même à me peloter le cul à la piscine. Charline, c'est une fille adorable en fait. Sans le "en fait". Charline, c'est une fille adorable tout court. Dans mes souvenirs de rentrée, ce sont d'autres personnes que celles que je connais que je vois. Charline, je suis heureuse d'avoir découvert sa vraie personnalité (enfin je pense ?), je me suis rendue compte que sinon je serais vraiment passée à côté de quelque chose. Voilà, c'était la partie introduction-de-nouveaux-amis-dans-mon-monde de l'article. (Ce n'est pas pour autant que j'en oublie les autres.). Maintenant, revenons-en à nos moutons. Après avoir pris un apéro qui cale déjà bien (même si c'est Maxime qui boit les trois quarts de la bouteille alors qu'on est quatre), y a le repas, le théâtre, gna gna gna. Vient ensuite la deuxième tradition. Mais celle-là vous la connaissez déjà. Je vous fais chier avec tous les vendredis du mois depuis deux mois et demi moins trois semaines. J'enlève les trois semaines parce qu'avant ce terme je cachais ce que je faisais de mes vendredis. Mais maintenant, impossible d'y échapper sur ce blog. Le vendredi après-midi, c'est mon chéri et moi. Rien que mon chéri et moi. Sa peau, ses cheveux et ses yeux qui brillent. "Comme t'es beauuu !" Tout ça c'est tout doux, et je hurle de rire, et j'ai un affreux suçon dans le cou.
Une vieille photo, du premier Friday chez moi.
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