Lundi 21 janvier 2008 à 18:32

Lui, il sait tout de moi. Il connaît tous mes secrets les plus profonds, ce que je n'ai jamais dit à personne, je lui ai parlé des vieilles angoisses enfouies qui m'ont accompagnée toute ma vie, de mes peurs passées et des actuelles, de ce que je traîne avec moi depuis toujours. Maintenant, j'ai grandi, je sais faire le tri. "Ma mémoire est sélective, les souvenirs qui dérangent dérivent." Mais lui, quoi qu'il arrive, je ne l'oublierais jamais. C'est le plus important, c'est le premier qui ai réussi à me faire tomber amoureuse de lui, le premier qui ai su m'apporter ce que je cherchais et ce qui me manquait, avant. Celui qui m'a appris. Celui qu'à peine rencontré, je n'ai pas pu quitter ; celui qui a toujours habité mes pensées et avec qui je n'ai jamais pu être une simple amie. Il est mon tout. Il est mon double et mon contraire. "La différence cultive l'amour", gna gna gna, c'est vrai que quand on se complète, on s'ouvre l'esprit, on devient plus tolérants. Ca nous enrichit. On en a besoin parce que, c'est bien connu, même en science les énergies complémentaires s'attirent. Et c'est ensemble qu'on a tous les pouvoirs. C'est ensemble qu'on pourrait refaire le monde. "And Oh ! I'm sure, that we will conquer the world. And Oh ! I know, I love you more than anything..." Oui, oui je l'aime plus que tout, lui et ses yeux qui brillent, lui et sa peau toute parfaite, lui et sa gueule d'ange. Putain de gueule d'ange.

Maxime. Avec un M comme aimer.

Jeudi 3 janvier 2008 à 15:32

Clo est une artiste. Mais Clo a aussi besoin de tunnes. Alors elle a décidé de combiner les deux. Venez voir, c'est un ordre.

Ca se passe .

Samedi 29 décembre 2007 à 19:10

Repasser à nouveau un après-midi avec elles. <3

Dimanche 23 décembre 2007 à 19:42

Ca, les amis, c'est Colmar. Et dans Colmar, cet après-midi, il y avait un marché de Noël, mon chéri, et moi. Et aussi, comme vous le voyez sur la photo, des rivières magiques. "Mais qu'est-ce que tu viens de jeter dans l'eau ?" Y avait aussi des crêpes au Nutella en dessert, des manalas aux pépites de chocolat et du vin blanc chaud renversé sur la veste. Y a eu encore un donnër kebab pour les gens qui ont les yeux plus gros que le ventre, des photos en pleine rue et des pieds glacés. Et comme je répète trente-six fois les mêmes choses, y avait surtout mon chéri. Mon-chéri-il-est-beau-il-est-amoureux-il-a-rencontré-mes-parents-je-l'aime.

Vendredi 21 décembre 2007 à 18:46

Vous l'avez peut être déjà pressenti, ou alors vous n'y avez même pas songé, mais aujourd'hui c'est vendredi, et le vendredi c'est le jour où je vous blablate des insanités amoureuses. Je vais donc changer de personne, et m'adresser à toi. Toi, toi, toi. Comme je t'aime. C'est pas demain que tu t'échapperas de mon coeur. T'y es, t'y restes. Un point c'est tout un point c'est nous (bon d'accord c'est pas original comme phrase tout le monde dit ça). T'y es entré, t'en ressortira pas de sitôt, "on s'en fout on y va pas". "On a qu'à s'cacher sous les draps", et une latte en moins. Mince. Je suis terriiiiiiblement chiante quand je m'y mets, pardonne moi, pardonne ma nature de capricieuse entêtée (dit-elle avec un grand sourire). (Il n'y a rien à interpréter, les gens. Si vous croyez comprendre, peut m'importe votre hypothèse, vous vous plantez). Toi, toi et toi. Et encore toi. En ce jour de solstice d'hiver, le jour où la nuit est la plus longue, le soleil était bas dans le ciel quand on s'est pointés vers 12:40, toutes fraudes de bus et de cantine réussies. Quatre heures avec toi. Quatre heures de magie, de folie, et tout l'amûûûr qui volette autour de nous. Oui dans mes écrits je veille toujours à ne pas devenir mièvre, et à garder la moitié. La moitié pour moi, la moitié pour nous, et plus encore. Ecoute voir Comme elle vient, chéri. Je t'aime. Encore et encore.

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