Vendredi 27 juin 2008 à 19:10

Et vendredi prochain, on va aux Eurocks tous les deux. Concert en amoureux.

Lundi 23 juin 2008 à 15:08

Ouais en fait les imperfections rendent plutôt tout imparfait. Quand le pauvre coup de soleil n'en finit plus de piquer sa crise dans mon dos et qu'il m'oblige à rester cloitrée seule chez moi alors qu'à l'heure qu'il est je pourrais être dans les bras de mon chéri. Tout ça pour pas être exposée une minute de plus au soleil. Ou à l'ombre. Parce que même à l'ombre ça crise. Allergie ? Pour changer. Après le pollen, les noisettes qui grattent au fond des oreilles, le néoprène qui fait des boutons, les fruits de toutes sortes dont la nectarine pas mûre qui fait enfler le palais et résonner les battements de coeur derrière mes dents, voilà le SOLEIL ! Ce faux ami...

Dimanche 15 juin 2008 à 16:40

Comme quoi en une seule page, voire un seul article, on peut trouver une fabuleuse démonstration de la connerie humaine. Putain mais c'est quoi ces gens ? Bonjour-j'ai-dix-neufs-ans-je-suis-un-déchet-je-me-drogue-je-ne-fais-rien-de-ma-vie-je-suis-enceinte-et-je-quitte-mon-copain-même-si-je-sais-que-c'est-l'homme-de-ma-vie-et-qu'on-allait-se-marier-je-ne-me-doute-pas-un-seul-instant-de-la-merde-dans-laquelle-je-vais-élever-seule-mon-enfant-handicapé-mental-à-cause-de-toutes-les-saloperies-qui-circulent-dans-mon-sang. Je crois rêver. Et pas un joli rêve mignon cette fois. On croirait à une caricature. Mais comment peut-on être aussi con, vous m'expliquez ? Excusez-moi je m'emporte, je croyais encore vaguement à l'être humain. Je ne divulgerai pas l'adresse de cette "incarnation de la connerie humaine sur patte", j'en ai assez dit, et frapper sur les murs ne changerait rien. P't'être que je devrais faire instit' quand même, histoire de me donner l'impression de sauver un peu les gens de la misère en leur inculquant un minimum de savoir sur les choses de la vie. Le monde m'afflige.

Dimanche 25 mai 2008 à 16:23

Râler à propos des gens qui nous emmerdent, et parler d'imagination, ouvrir les portes de nos esprits et mettre tout sur le tapis, voir ses yeux s'agrandir derrière ses cheveux rouges. J'aime.

Samedi 17 mai 2008 à 12:07

Je le porte là, et l'y porterai toujours.

Photographe : Luc.

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