Mercredi 20 mai 2009 à 18:32
Mardi 19 mai 2009 à 18:37
Je pourrais faire un article en langage codé spécial perruches, je ne sais pas si beaucoup de gens comprendraient grand chose. Et puis j'emploierai des mots qui ne font pas spécialement partie de mon vocabulaire, mais plutôt du leur. J'ai perdu au Chasty Day, je ne m'appelle pas Lise auf dem Teusch pour rien. C'est chaque jour plus plaisant de passer des heures avec vous, à bouffer des glaces, compter les pièces de un euro, apprendre par coeur des trucs qui ne servent à rien et faire des statisteusch. Et rire rire rire, punaise vous êtes ahurissants. "Il est tombé sous le choc, sous l'pied, sous l'chien." Mes antichasty je suis amoureuse de vous.
Lundi 18 mai 2009 à 18:49
Samedi 16 mai 2009 à 23:13
Je m'étonnais d'avancer si facilement et si rapidement, d'habitude, je galère un peu à la traversée de Bourbach-le-Bas. Ce n'était pas possible, mon vélo devait être déréglé, mais non. Il faut croire que je commence simplement à avoir de l'entraînement ! J'étais en avance, Valentin n'était pas encore arrivé. J'ai posé mes affaires encombrantes sur le trottoir et j'ai avancé jusqu'au virage. Au moment où j'ai fait demi-tour vers mes affaires, je l'ai vu arriver. Je ne me suis pas arrêtée, mon appareil photo étant sans surveillance. Je filais comme une princesse dans ma robe bleue, tournée vers lui, j'ai serré à droite pour laisser passer la voiture, et j'ai mangé la barrière. Mon vélo m'a fait faire quelques torsions surprenantes, et j'ai fini couchée sous ce dernier sur le trottoir, cinq paires d'yeux braquées sur mon bras en sang. Et j'étais morte de rire. Je riais de ma connerie, de ma stupidité, de mon inconscience. J'aurais pu me faire n'importe quoi de bien plus grave. Et dans le contexte, c'était encore plus ridicule. Mais à part quelques égratignures je n'avais rien. J'étais bien vivante, bien entière, et avec Valentin. Que demander de plus ? Après tout, avec lui, je me transforme en aventurière, alors avec quelques petites echymoses, ça fait plus ambiance. Et sa douceur vaut bien mieux qu'une boîte de sparadrap et une bombe de désinfectant. Et ses yeux et le ciel. Je n'aime pas étaler ma vie sentimentale comme de la confiture et si ça se trouve, j'en ai déjà trop dit, alors revenons à mes hématomes. Voyage retour, petit sentier creusé d'ornières. Boum la grosse touffe d'herbe et vol plané par-dessus le guidon, je me retrouvais sur le dos pour la deuxième fois. Même si j'ai tapé ma tête, ce coup-ci a été moins violent et destructeur que le premier, et il n'en a résulté qu'une trouille maladive pour redescendre de la montagne dans les petits (plutôt gros) cailloux - ce qui m'éclatait bien la semaine dernière. Oui, parce que ces dernières vacances, je n'ai jamais fait autant de vélo que dans toute ma vie, alors me vautrer comme ça et perdre le sens de l'équilibre, ça fait bizarre. Coucher de soleil sur les prés, Valentin fonce dans l'herbe haute, j'essaye de ne pas oublier de regarder ou je roule, pour éviter de me gameller une troisième fois. Et bien voilà, j'ai conduit une bagnole pour la première fois ce matin, et je ne sais déjà plus me servir d'un vélo. C'est peut être parce que le mono ne m'a pas laissée gérer les pédales pour rentrer chez moi. Grr.
Vendredi 15 mai 2009 à 22:12
Nous avons loupé le petit déjeuner organisé à la cantine ce matin, fait des vocalises au théâtre à midi, et élaboré des statistiques douteuses cet après-midi en salle de travail, ma règle circulant entre toutes les mains.
Dans ma période Radiohead, j'ai remarqué que Thom York chante "I wanna be wanna be wanna be Jim Morrison".
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