Looks like a |coquelicot|
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Lundi 30 avril 2007 à 19:26
Ce matin, plus de doute possible. Il n'y avait plus de raison pour qu'elles arrivent le lendemain. Comme tous ces jours où je me levais en pensant "je vais recevoir mes Converses aujourd'hui" mais non, je tombais sur un message m'anoncant qu'elles arriveront le lendemain. Le lendemain "cool je vais recevoir mes Converses aujourd'hui", ah ben non, c'est dimanche. Ce matin, il n'y avait plus d'esquive. Je ne guettais pas l'arrivée de la camionette jaune, non non, j'ai juste sorti ma tête au bon moment quand j'ai entendu un bruit de moteur. C'était la Poste, qui a crié à ma mère "C'est pour vous !" Et j'avais mes Converses. Mes Converses rouges. Je vais maintenant délaisser celles-qui-furent-oranges dans une boîte à la cave. Non non, je ne les jetterais pas, même si, au bout de quasimment 2 ans de port, elles ne ressemblent plus à rien. Cassées de partout et complètement décolorées, et trop petites, accessoirement. Non, je les garde, mes premières Converses. C'est qu'on s'y attache à ces bestioles (d'accord...). Celles-ci perdront leur couleur moins facilement. C'est sûr, j'aurais l'air encore plus con quand je m'habillerai tout en bleu, mais c'est la vie, cui cui. Je commence à raconter n'importe quoi là. J'aime les flous. Et mes pompes. Et mon t-shirt made in York. Assorti en plus. En Ecosse, ils n'aiment que l'Ecosse. Aucun drapeau du Royaume Uni à vendre nulle part. Scottish not English. Non, ce n'est pas ça. Sur les murs, à Edinburgh, c'était radical : Scottish not British. Mais ils ne sont pas tous aussi extrêmes. C'est juste une trop grosse dose de patriotisme. A York ils avaient des drapeaux de tous les "états". Tout ce que comprend le United Kingdom.
Ah tiens, d'ailleurs l'étiquette de mon débardeur fait bien tache sur cette photo.
Jeudi 19 avril 2007 à 16:23
Pour son anniversaire, à mon blog, j'ai décidé de lui offrir un nouvel avatar. Avouez qu'il est bien mieux que l'autre, rien qu'au niveau coloris. Celui-ci est bien plus dans les teintes du blog, et en plus, je ne suis pas blanche comme un cul. Non non ne vous inquiétez pas, je ne vais pas palabrer narcissiquement pendant des heures sur mon fabuleux nouvel avatar, ni tenter de vous expliquer que sur la photo retouchée mon nez part en sucette en version miniaturisée (oui oui, je vous en prie, essayez de suivre, mais vous n'êtes pas obligés). Je pourrais vous aligner ce genre de conneries qui déchirent sa race des trois oreilles du kiwi porto-ricain migrateur (l'oiseau, hein) tout le long de l'article. D'ailleurs je ne sais pas où vivent les porto-ricains. Eclairez-moi je suis quelque peu en panne d'intelligence sur-dévellopée, mais ne m'en voulez pas, hein, si les goupilles de mon petit cerveau étroit décongelé au micro-ondes ne s'engrainent (dans un engrenage) plus correctement dans les pales du moulin qui fait tourner la machine humaine que je suis. Et maintenant que j'y pense j'ai un article qui est prévu depuis le mois de novembre, et je n'y pense que dans des circonstances trop joyeuses pour m'y mettre enfin. De toute façon les garçons sont plus égocentriques que les filles, j'ai deux formidables preuves vivantes dans mon entourage : Alex dit 'Je suis nombrilliste, je crois que le monde tourne autour de moi' et Niko répond 'Moi je suis narcissique, je m'aime'.
Mercredi 7 février 2007 à 12:34
Ma petite personne capricieuse.
Je suis quelqu'un d'assez solitaite quand on y pense. Moins il y a de monde à la maison, mieux je me porte. J'ai besoin de mes instants de solitude, le mercredi matin par exemple, quand mon p'tit frangin est au cathé, ou le dimanche. Non, je n'aime pas les promenades en famille, même si je culpabilise de rester enfermée par beau temps. C'est juste que je n'ai rien d'autre à faire que penser pendant que je marche. Et ça me rend mélancolique. Je pense à tout, tout, même les bons côtés de mes pensées me rendent triste. C'est pas pour moi ce genre de truc. C'est trop d'un coup, surtout si je ne l'ai pas choisi. Je préfère décider moi-même de quand je dois m'isoler. Car en fin de comtpe la promenade en famille ne m'apportera que trop de solitude.
Pour le travail c'est pareil. Je travaille seule. Vous avez du le remarquer hier, pendant les Maths sans frontières. Quelle tuerie ce truc. On parle tous en même temps et au final on met une heure et demi à pondre un exercice qui n'avait rien de si compliqué. Quand on s'écoute ça marche. Mais quand on y va chacun de sa théorie, c'est foutu. J'ai l'impression à ce moment d'être comme Quentin pendant le hand. Ou plutôt j'ai l'impression que vous me voyez faire des maths comme vous voyez Quentin jouer à son sport favori en cours. Quentin, le champion de hand, il gueule sur tout le monde, donne des ordres à son équipe, pète un plomb à chaque petite connerie d'un partenaire, même pour un tout petit match de rien du tout (il aura de toutes façons une bonne note), Quentin est très mauvais perdant. Et son esprit de compétition importune même les gens qui se reposent dans les gradins, on en vient à encourager l'autre équipe rien que pour lui donner tord. Et moi, dans tout ça, je me sentais considérée comme lui pendant ce concours de Maths sans frontières. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire. Le pire, c'est sûrement que je n'arrive pas à discerner les petites taquineries des véritables foutages de gueule. Ne m'en voulez pas si j'en suis venue au "Ta gueule !", je n'ai envie de me brouiller avec personne, mais le fait d'être compressée entre plusieurs personnes qui rient de moi n'aide pas beaucoup. Oui j'ai un très mauvais caractère, oui je veux toujours avoir raison, surtout quand je ne comprend pas ce qu'on me raconte [commence pas à te justifier t'auras encore plus l'air de celle qui ne veut surtout pas avoir tord]. Des grands mots toujours oui, je me cache là derrière. Excusez notre incompatibilité passagère. Je n'en veux à personne d'autre que moi-même.
Dimanche 28 janvier 2007 à 15:22
J - 31. Ca y est, le compte à rebours est lancé ; dans un mois, j'ai 15 ans. Ca sonne plutôt bien, 15 ans, mais ça fait un peu trop chiffre rond. Je n'aime ni les chiffres pairs, ni ceux qui se terminent par un 5. Pas difficile la demoiselle, je sais. Et pourtant, 28, c'est tout ce qu'il y a de plus pair. 28 comme 28 février, mais cette année, ô rage, mon anniversaire tombe non seulement un mercredi mais en plus pendant les vacances. Snif. Ca sera pas pour moi les chants à la cantine ou je-ne-sais quelle surprise que les gens biens savent si bien concocter. Eh merde. Ca m'aurait fait le plus grand bien. Mes 14 ans, je ne m'en rappelle plus, je ne sais plus avec qui j'ai mangé mon repas de midi, je me rappelle juste de ce qui m'intéressait à cette époque, qui était petit avec un nom qui commence par un F. Qui est toujours petit d'ailleurs. Mais maintenant je m'en fiche totalement. Maintenant c'est de quelqu'un d'autre que je vais me rappeler. Sauf que comme ce con de 28 févrirer tombe pendant les vacances, je ne le verrai pas, et me connaissant, ça pourrait être la cause de mon anniversaire le plus pourri. Eh oui, les gens, j'ai beau vous aimer beaucoup, mon plus beau cadeau d'anniversaire ne pourrait être autre que le voir, lui, tout simplement. Je suis nulle, je sais. Et cet anniversaire le sera aussi. On sera assorti. Youpi. (Et en plus je sais faire des rimes).
*Mais on se rattrapera un autre jour. Parce que Lucie et Claire,c'est pas rien ! Au cas où chères demoiselles ne croyez pas que je vous oubliais, dans cet article il est question du jour même de mon joyeux anniv'. Alors vivement ces vacances quand même.
** Genre les visiteurs, vous vous demandez probablement si cet aticle est fait pour râler ou pour se réjouir d'un même événement. Excusez mon esprit tordu.
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