Il faudrait que j'écrive sur la rentrée, sur l'avant-rentrée, sur ce qui va venir. Bientôt. Quand j'aurais trouvé le courage. Et le temps. Et les mots. Et que j'aurais fait le tri dans la diversité de ces dernières semaines qui m'ont paru une éternité. Et que je saurais comment on accorde le participe passé à valeur adjectivale "paru" dans la phrase précédente. Et que j'arrêterais d'avoir l'impression, à chaque minute, de tenir ma vie entre mes mains parce que je doute de l'orthographe d'un mot.
Samedi 1er octobre 2011 à 19:44
Jeudi 29 septembre 2011 à 17:30
In the blur where we're going, where everything turns to dust
I don't know, I don't care, if it's real or not there.
'Cause in war I found peace
And in you I found me,
I suppose you're okay, that you don't mind if I stay...
I don't know, I don't care, if it's real or not there.
'Cause in war I found peace
And in you I found me,
I suppose you're okay, that you don't mind if I stay...
Jeudi 22 septembre 2011 à 13:54
J'ai enfin consenti à défaire mon sac de la semaine dernière, pour pouvoir faire ma valise. Encore. Sauf que cette fois, ce n'est plus les vacances. J'ai soumis mes vêtements à un test olfactif pour déterminer s'ils étaient encore portables, et quand j'ai posé mon nez sur ma chemise de nuit, ciel ! J'ai eu l'impression d'être encore chez lui. Dans son lit. Ou peut-être sur son canapé portant une de ses chemises, ou dans la cuisine, allez savoir, ma chemise de nuit porte le parfum de son appartement. Ce n'est pas seulement l'odeur de lessive de ses draps propres, c'est un tout, peut-être le parquet, la peinture des murs pourquoi pas, et en se concentrant bien on distingue une note de tabac froid. C'est quand même plus sa chambre. En tout cas, j'ai sur ma chemise de nuit une odeur qui me transporte à des kilomètres de là, tout près de lui. Et je reste à genoux sur le tapis à enfouir mon visage dans le tissu satiné.
Vendredi 9 septembre 2011 à 16:10
Eh bien ! Même sur la toile, le chat déchaîne les foules !
Vendredi 9 septembre 2011 à 1:03
Il y a truc qui fait l'événement en ce moment à la maison ; un truc petit, poilu, mignon et agile, nommé Pépito. Quand je suis rentrée de Paris, je suis tombée nez-à-nez avec lui :
<< Yann, c'est quoi ce chat ?
- Quel chat ?
- Ben, le chat dans l'escalier.
- Ah, ben c'est notre chat.
- Notre chat ?! >>
La famille s'est donc agrandie en mon absence, j'étais tellement surprise que j'en ai pleuré de rire. Le chat, c'était l'animal qui ne devait jamais arriver à la maison en raison des allergies des uns et des autres, et finalement, ils ont craqué. Je ne comprends pas trop, mais ça met de la joie au domicile familial. Tout le monde est complètement gaga devant lui.
<< A l'endroit