Jeudi 24 décembre 2009 à 13:15

Ah tiens, c'est Noël. Non pas que j'avais oublié, mais je suis encore dans une autre ambiance. Folklore folklore folklore folklore folklore. J'ai du mal à croire que ce soir, c'est grand repas de famille, huîtres, foie gras et compagnie, et tas de cadeaux sous le sapin. Je ne sais (comme d'habitude) toujours pas comment je vais m'habiller, je n'ai pas plus de rouge dans mon armoire que l'année dernière. Comme souvent, ma mère finira par me piquer mes fringues et je mettrais les siennes. Nous avons trente-cinq minutes de route, et pour être sûrs d'être à l'heure à 19:15, le départ est prévu pour 17:30. En vérité, je n'ai rien de plus important à vous dire que Joyeux Noël.

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Mardi 22 décembre 2009 à 20:52

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Bienvenue à Twin Peaks ou ailleurs.

Lundi 14 décembre 2009 à 21:35


Dix jours que je n'ai pas posté, et pourtant j'ai un tas de choses à dire, ma désertion n'est pas volontaire (au moins pas ici). Avec l'objectif de me coucher tôt, en particulier parce que je ne veux pas tomber de sommeil au théâtre vendredi soir (une pièce de trois heures, aussi passionante soit-elle, ne pourra pas être appréciée si j'accumule les retards de sommeils tout le long de la semaine), je ne compte pas écrire grand chose. Encore et toujours le sommeil, oui je sais. Mais je ne vois pas comment je pourrais  vivre et dormir plus à la fois. Caféine et paracétamol, le cocktail du samedi. Et dire qu'il y a deux ans je trouvais les dimanche inutiles, aujourd'hui les weekends sont bien trop courts ! Je me répète, je radote. J'ai tellement peur de devenir comme mon père quand il parle de ses années lycée. J'ai tellement peur que tout s'efface, que tout disparaisse aussi vite que c'est apparu, et deux mois passés comme un coup de vent, et toujours que du vide, non ce n'est pas vrai, les idées germes dans l'urgence, mais je crois si peu au futur. Mon existence est vaine, merci Epicure de nous guider sur le droit chemin. Je t'emmerde, Epicure. Mes désirs vains sont toujours moins vains que ceux des autres, sauf exception. Mes désirs naturels indispensables au bonheur ne le sont pas pour notre ami grec. Je vous jure que si je n'ai pas ma dose d'images, je me tasse sur moi-même.

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Les vacances, les vacances, j'attends les vacances avec impatience. Des projets, des projets, j'ai tellement d'idées au fond, tellement d'idées indispensables au bonheur mais qui ne permettent de satisfaire aucun des besoins de conservation.

 

Vendredi 4 décembre 2009 à 22:33

Naaaaatalapapaaaalalaaaa

Dimanche 8 novembre 2009 à 20:44

Un grand merci à Bruno de Belgique pour son message qui m'est allé droit au coeur. S'il n'y avait qu'une seule personne qui trouvait du plaisir à me lire, je ne m'arrêterai jamais d'écrire.

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