Vendredi 13 juillet 2007 à 12:29

Bam. La lumière vive du couloir m'a éblouie quand j'ai emmergé de ma chambre. J'allais enfin sortir accompagnée d'entre mes quatre murs aujourd'hui, et le soleil était de la partie. Il tapait sur le vélux de la salle de bain, une vraie fournaise. Dehors, les voix des enfants qui jouent, et le bruit de quelqu'un qui bricole. Oui, indubitablement, le bruit des vacances d'été. Par la fenêtre, un ciel parfait, bleu, limpide, sans aucun nuage à l'horizon. Les enfants ont ressorti les t-shirts à manches courtes et les shorts. Mon récit arrive un peu tard, le soleil ne s'est pas pressé. Mais maintenant qu'il est là, qu'il fasse son boulot...la canicule après l'hiver.

Vous êtes deux à m'avoir désignée comme rayon de soleil, hier. En voici un, un vrai.

Jeudi 12 juillet 2007 à 15:17

- Ainsi, reprit Angela en totillant une boucle de son opulente chevelure, tu pars pour Ellesméra.

Eragon hocha la tête sans oser demander comment elle l'avait appris ; elle semblait toujours au courant de tout. Comme il restait silencieux, elle lui lança un regard réprobateur :

- Ne fait pas cette tête ! On dirait que tu montes à l'échafaud !

- Je sais.

- Allons, haut les coeurs ! Tu devrais être heureux, non ? Tu me parais aussi flasque que le rat de Solembum. Flasque. Un mot merveilleux, tu ne trouves pas ?

Ils sont encore là, Eragon et Saphira, mais en couleur, et penchés, siouplaît, afin de pouvoir être affichés plus grands que la largeur de la page. Et en cadeau, si vous cliquez , vous pourrez même les voir dans toute la largeur de votre écran.

Mardi 10 juillet 2007 à 12:39

Turn my head.

Let's shiver.

La musique m'emporte, et tout tourne, tourne. J'en aurais des frissons. Les gouttes d'eau elles même en trembleraient. La montée en puissance, tout doucement. Mais sûrement. Faisant accelérer les battements de coeur. Une voix surgie de nulle part. Et des yeux. Des yeux bleus, froids, non, glacials. Un regard poignant, auquel on s'accroche. Un regard pas heureux, non, mais fascinant.

Lundi 9 juillet 2007 à 16:30

Et j'ai simplement décidé de ne rien faire. C'est fou, hein, comme la glande peut être attirante. Ne rien foutre, c'est tellement mieux que de devoir bouger son cul. Allez hop. Débiter des conneries sur un blog qui n'a pas mérité ça, lire sur son lit, visionner des clips de Mylène Farmer, c'est ce qu'on peut appeler un après-midi perdu. Mais c'est les vacances, et pendant les vacances, on peut se permettre autant d'après-midis perdus qu'on le veut. Surtout quand il fait un temps pareil. Ce n'est bien sûr pas pour autant que j'ai envie de repasser. Le repassage, c'est terrible. Dès que tu es seule à la maison, on te demande d'en faire. Etre seule à la maison ne signifie pas "n'avoir rien à faire". Même si là, en l'occurence, je ferais bien de lâcher cette page que je salis de mots stupides. Non, je n'ai rien à faire, c'est pourquoi je place débilité sur débilité, sans aucun intérêt. Je déteste faire ça, pourtant, j'ai tellement l'impression de ne rien faire d'autre qu'

Ouais c'était fait exprès. Du suspens pour qu'il y aie quand même un minimum d'intérêt à cet article, et une jolie photo.

Samedi 7 juillet 2007 à 17:56

Ce soir, y a Heroes.

Ouais bon d'accord. C'était juste histoire de penser que je devrais convaincre mes grands-parents de mes choix cathodiques. Et histoire de poster parce que ça me ferait culpabiliser de passer tant de temps sur un ordinateur sans m'occuper de mon blog. Je n'ai toujours pas écrit d'article sur l'arrivée des vacances (même si j'ai évoqué mon subsitut de dernières heures au collège), ni sur mon brevet qui emplit la famille de fierté.Ce n'est qu'un tout petit brevet. Alors au lieu d'écrire, je dis ce que je n'écris pas. Histoire de remplir la boîte virtuelle, alors que je n'ai aucune photo.

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