Lundi 28 juillet 2008 à 19:18

Prendre des photos pour servir de modèle à un dessin n'aboutit pas toujours à un résultat négatif. Il résulte parfois des photographies improbables, qui n'ont pas grand chose en commun avec ce qu'on déisre dessiner, et qui sont pourtant bien plus intéressantes. Bon, bien sûr, vous pouvez aussi trouver ça complètement moche, cependant, en noir et blanc ça n'arrangerait pas les choses. Vous comprendrez le sens de ma drôle de position en lisant la bédé que je vais bientôt poster, oui oui, c'est affreux dans l'art de l'affreux, mais j'ai fait ce que j'ai pu, je ne suis pas spécialiste pour reprendre les personnages dans des situations différentes. Allez hop, je scanne, j'essaie de rajouter quelques touches de couleur, j'organise, et je vous balance ça.

Lundi 5 mai 2008 à 19:21

Pantalon de toile rouge, chemisier noir, je ressentais le printemps par tous les sens. Je parle des cinq sens, ceux dont je suis particulièrement friande. C'est un peu bizarre de dire qu'on est friand de ses sens mais dire que je suis sensuelle ne collerait pas avec la définition que j'essaye de donner. Enfin bref. Les vacances sont finies, les profs râlent tous après notre dissipation, c'est la dernière ligne droite, gna gna gna. Recroiser les Embrunais et se dire qu'on revient de là-bas, les entendre chanter Marie-Madeleine une fois de plus, il est difficile de mettre fin aux bonnes choses. Narguer nos terminaux "Un bac blanc ? Mais quel bac blanc ? On a eu des bacs blancs nous ?" avec nos bronzages de la mort-qui-tue. Transpirant la bonne humeur, le fou rire est au coin de chaque porte. Et ils voudraient peut être qu'on soit concentrés avec tout ce soleil. J'a déjà tellement de choses prévues cette semaine. Ballade, photos avec Luc, anniversaire de Camille et nuit avec mon chéri, et Rachamarkt traditionnel. Ca va être bien. Pas le temps de s'ennuyer, juste le temps de vivre.

Et j'ai oublié une chose dans la liste des choses faites à Embrun : épilation. Féminine et masculine. Et puis il y avait aussi cette superbe écharde plantée dans le pied de Diane, heureusement qu'y avait Docteur Maxime. Mmmh, Docteur Maxime.

599ème artilcle. Je garde le 600ème pour un événement avec un autre 6.

Dimanche 27 avril 2008 à 16:13

Moi ici ? Oh, je ne suis pas là. C'est l'ordinateur qui envoie tout seul les articles (ou plutôt qui enverra parce qu'à l'heure où je l'écris, je suis toujours chez moi). Donc. Je suis à Embrun mais comme laisser volontairement mon blog sans nouvelles pendant une semaine est un sacrilège, je garde de quoi (peut-être) vous distraire. Pas d'aperçu de l'endroit où je suis quand vous lisez, puisque bande de petis malins, j'y suis et ne suis pas encore revenue. En direct des Hautes Alpes, je vous envoie par télépathie une photo de Thann, mon pays béni.

Dimanche 27 avril 2008 à 16:07

Bon, voilà, je n'ai toujours pas fait ma valise et je n'ai toujours pas commencé mes devoirs. Par contre je me suis pris la tête avec mes parents (mmmmh) et j'ai recopié un loooong mais vraiment loooooooong passage de Retour à la case égouttoir de l'amour, Le journal intime de Georgia Nicolson 7, de Louise Rennison, parce qu'il fallait bien que je vous laisse un peu de lecture pendant mon absence. Vous êtes prévenus, c'est quelque chose de long et incompréhensible, mais ce n'est pas une raison pour déserter, il y aura d'autres articles télécommandés (ou presque). Alors, à mes amis LSKiens je souhaite de bonnes vacances, à mes amis et lecteurs non LSKiens je souhaite de bons cours ou bon travail habituels, et puis comme on dit aux terminales chez nous "bons bacs blancs" bien sûr !

On se quitte sur une note printannière et fleurie de même pas moi et de même pas cette année, mais ça fera l'affaire.

Jeudi 24 avril 2008 à 19:28

Il fait 22°C et on avait oublié ce que c'est que la chaleur. Je prends enfin le temps de raconter l'inutile après avoir consacré toutes mes soirées dernières (ou presque) à ma préparation d'oral allemand. C'est enfin passé, j'ai pas stressé parce que même sans faire exprès je connaissais mon texte par coeur (oui parce qu'on a appris entre temps qu'on avait pas le droit aux notes. Du coup ça donne des trucs bizarres du style "Das selbe Tag haben wir der Scotch Whisky Centre [clic]... entschuldigung ich habe diese foto vergessen...) et puis c'était vite fait. Et ça y est, je suis libre, libre, LIBRE ! Mais du coup j'ai loupé le théâtre de midi. Alors je les ai regardés par l'entrebaillement de la porte tourner en rond au milieu de la salle, comme au tout début, à la différence près qu'au tout début on ne se connaissait pas du tout. Livrés à nous même dans ce tas de beaux inconnus, crier son nom et se laisser tomber en éspérant simplement qu'ils nous rattrapperont. Et tout au long de l'année, c'est ce qu'on a fait ; se soutenir. Ca faisait un bien fou de les entendre tous dire qu'au début des vacances ils n'arrivaient pas à penser à autres chose, ajouter "moi c'était pareil", et voir le grand sourire avec lequel Camille m'a accueillie, et Marie-Odile toute fatiguée. C'est fou le nombre de gens qui font leur devoirs le lundi matin de la rentrée, de huit heures à neuf heures, après deux semaines de vacances ! Je n'écoute plus la musique le matin. Je marche seule et j'écoute les oiseaux. C'est joli Sentheim à la fin avril, au lever du jour. Le printemps s'est imposé, y a des grosses fleurs blanches sur les arbres le long de la route, il fait bon, on cours autour d'un stade en t-shirt et on s'explose pour rien. Qu'il est beau quand il est crevé. Les joues roses. J'en viendrais à foutre des baffes à Tâches de Rousseur. Et en fait lundi on part en vacances. Direction Embrun, pour un séjour sportif (youpi) à deux heures à pied de la ville et en chambres non mixtes. En rentrant chez moi ce soir avec la musique dans les oreilles j'ai été tentée par un projet d'animation filmographique. Que la motivation reste, j'ai envie de plein de choses, et je n'ai même pas le temps d'écrire à Lucie. Maintenant, je vais prendre le temps.

L'année dernière, j'étais là-bas.

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