Lundi 7 janvier 2008 à 18:33

Rien de tel que la reprise. J'ai besoin d'être occupée, dans la vie. Même si on a pas anglais (oh yesssssssssss) et que du coup on a quand même le temps de ne rien faire. "C'est la première fois de l'année qu'on marche dans ce lycée", et revoir les sourires de tout le monde avec les "bonne année" qui vont avec. D'autres sont encore dans le coltar "Qu'est-ce que vous fixez comme ça ?" "La pluie qui tombe." et Monsieur K., lui, est plutôt en forme "Elle est pas très sexy, cette modernité." Leurs petites manies me font étouffer mes rires dans mes mains, poings serrés fort pour stopper la crise d'hilarité. Quand on y est, on a l'impression qu'on vient à peine de partir en vacances et qu'on est déjà revenu. Derrière nous ces deux semaines de grasses matinées. Le temps passe trop vite. "Oh, time is running out". Il y a une chose que je tiens à préciser, c'est que l'un des plus beaux cadeaux de la journée (et il y en a eu) a été ce petit "Viens, on ralentit sinon on pourra pas parler.". Des cadeaux ? Aujourd'hui avec Maxime ça fait deux mois. Quelqu'un m'a dit un jour en commentaire qu'il n'y avait pas de quoi fêter un premier mois de relation parce que c'est court, parce que c'est rien. Mais j'estime que c'est totalement faux. Si on veut compter les mois, il faut bien commencer par le numéro un. Et ensuite seulement vient le numéro deux.

Une photo moche, parce que les belles sont déjà prises ou inutilisables. C'est pas grave, je souris. C'est l'essentiel. Qu'on voie que je suis heureuse.

Vendredi 4 janvier 2008 à 15:34

J'ai envie de déblatérer des conneries juste parce que j'aime ça, et que j'ai horreur de laisser mon blog à l'abandon alors que j'ai tout à fait le TEMPS de laisser aller mes doigts sur le clavier, oui mais oui mais Diane va arriver d'une minute à l'autre (non je n'me suis pas plantée, il y a bien deux "oui mais"), si toutefois elle arrive, pour faire cette pu*** de SVT. Ca ne me ressemble pas de mettre des étoiles. Cette putain de SVT. Aah, là ça va mieux. Le pire c'est qu'y a pas que les OGM dans la vie, y a aussi passer l'aspirateur, laver la salle de bain (que voulez-vous, c'est vendredi, hu hu), sortir les pulls de la machine à laver (je devrais en profiter pour le faire, pour une fois que j'y pense) et quoi encore ? Ah oui. Faire mes devoirs que je n'ai TOUJOURS PAS commencés. Oui c'est mal, je sais. Mais un pauvre exercice de maths, un autre de physique, deux trois feuilles d'anglais, un bouquin minuscule à finir (ah, en fait j'ai déjà commencé) et un exposé sur les drosophiles transgéniques, ça devrait pas prendre trop de temps. En vrai je voulais dire quelque chose d'intelligent genre je-phsychote-sur-ma-life et aussi poster ENFIN un extrait du journal intime de Georgia Nicolson (sans le H) mais comme Diane est censée arriver et qu'elle n'arrive toujours pas, je ne vais pas me lancer dans de grandes expéditions. Ah si.Elle est là. A moi de m'en aller. J'essayerai de reviendre (surtout que vous n'en avez strictement rien à foutre, et en plus c'est même pas en simultané mais quelle cruche cette Citron-ciboulette...) Maggle.

Samedi 29 décembre 2007 à 13:09

Dans mon article-bloc de la semaine, d'ailleurs ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit autant, j'aurais pu écrire quelques jolies phrases. Dire par exemple que mecredi soir, dans le dortoir pour six personnes où nous squattions, à huit enfants de trois familles dont une famille recomposée, il existait une formidable diversité. De dix à quinze ans, trois filles provenant d'une école primaire-collège privée catho carcassonaise, un garçon dans une école primaire de petite ville (Thann), un autre dans l'école primaire de son petit village de campagne (Sentheim), un autre dans le petit collège public de sa ville privilégié par les rupins (comme dirait si bien mon père), sa soeur d'adoption, si je puis dire, en seconde dans le lycée privé le plus réputé de Mulhouse, et moi, arrivant tout droit de mon LEGT public, dans la même petite ville que mes faux cousins. Enfin bref. A l'écrit, c'est à en perdre les pédales. Du coup on aurait pu échanger plus d'informations en ce qui concerne nos différentes écoles, mais au lieu de ça, on a cassé la porte. Ou plutôt, Bastien, mon faux cousin de treize ans hypra susceptible avec sa grosse voix et son duvet pas rasé a donné un formidable coup de poing dans la porte que Tessa, dix ans, bloquait de l'intérieur de la pièce. Elle avait lâché la porte au moment du coup de poing et celle-ci (la porte) a volé hors de ses gonds, avec ses gonds, et un bout de bois en moins dans le coin du bas. Ce qui a quelque peu refroidit l'ambiance dans le Gîte de France.

In memorial : c'est toi qu'a foutu toute cette flotte sur le miroir ?

Mardi 25 décembre 2007 à 17:53

En direct de chez la grand-mère dont c'est l'anniversaire. Noël c'est bien sympathique mais je regrette une chose, c'est de ne pas partir à la chasse aux cadeaux sous le sapin. Eh oui, maintenant, c'est le p'tit frangin qui se charge de la distrib'. Une pensée pour mon chéri en découvrant la couleur des soutifs, une énoooorme envie de prévenir Diane de l'acquisition de deux paquets de Dim Pockets (dont un paquet de boxers, s'il-vous-plaît) qui sont toujours les bienvenus dans mon assiette. Je dis dans mon assiette parce que quand la distribution a lieu nous sommes tous assis autour de la table. "Lise, tu nous fait un article ?" Mon père râle de loin parce qu'"il est tard" et on doit changer de maison de grands-parents. Vous me connaissez je suis une grande bavarde, impossible de ne pas vous écrire quelques lignes. Sur ce, bonsoir.

Mercredi 19 décembre 2007 à 19:09

Mon très cher Monsieur Versager, je vous prierais de ne pas me contredire à propos de mes oreilles alors que vous ne m'avez jamais vu de face les cheveux attachés. Evidemment, j'ai choisi pour illustrer mon propos une photo qui ne montrait PAS la réalité vraie de mon système auditif. Que croyez-vous ? Je ne posterais pas n'importe quelle photo sur laquelle je ne serais vraiment pas à mon avantage. Pourtant les photos de ce genre pullulent. Seulement, moi, je suis umweltfreundlich (sans majuscule parce que c'est un adjectif) et je fais le tri. Bon d'accord. J'arrête de parler de moi, moi, moi et mon énormité auditive. Surtout qu'en vrai ça me dérange même pas, à part que je ne peux pas excercer en public le n'importe quoi capillaire, mais je peux m'en passer. Bon à la limite quand il fait chaud ce serait pratique de pouvoir s'aérer la nuque mais mais mais ma gueule. Je ne suis pas venue pour faire l'irritante. Bien sûr vous m'aimer alors irritante ou pas, vous me prendrez comme je viens. Mais j'ai un tas de défauts qui se rassemblent en un seul, qui tournent tous autour de moi, moi, moi, je nomme l'égocentrie. Après tout je ne suis là que pour parler de mézigue (je l'ai placée)(Georgia Nicohlson, sors de ce corps). Bon. Quelqu'un me donne une idée pour lancer un nouveau sujet ? Au départ je crois que j'avais quelque chose à dire. Ah oui. Un truc du genre, pour demain je dois apprendre par coeur un dialogue d'anglais et trois colonnes de Wortfeld d'allemand, heureusement que j'me lave pas les cheveux ce soir. Genre le truc le passionant. Si vous me cotoyez fréquemment, vous aurez compris que si c'est un bonheur de ne pas me laver les cheveux, c'est parce que l'opération me prend un temps fou et que du temps, pour apprendre tout ce bordel, j'en ai besoin. Ce que je fous là, alors ? A votre avis ? Je vous raconte n'importe quoi, bien sûr. N'y prenez pas goût. Je pourrais devenir méchante. (?) Bon d'accord. Ce soir mon cerveau divague et les salopes trainent sur mon passage. C'est mon paneau propriété privée qu'elles vont se prendre dans la gueule. Et pour vous, voici de quoi vous arracher les yeux.

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