Lundi 17 décembre 2007 à 18:40

Pour une fois, il n'y eut aucun article du weekend. Honte à moi. Mais ça a son aspect positif : cela signifie tout bonnement que j'étais occupée plus intelligemment que devant mon PC. Autrement dit je me suis tapé une paire de marché de Noël, sans râler parce que si je rechigne à visiter les marchés de Noël ça semblerait bien illogique que je veuille me rendre à celui de de Colmar avec mon chéri, et puis j'ai goûté du vin chaud, et surtout j'ai vu Chloé exécuter la danse de l'été et la danse des elfes. Oh God mais qu'elle est choue ! Et il ne faudrait pas négliger qu'avant les marchés, sehr sehr le glacial, ma Lucie est venue à la maison. Et ça, ça vaut un bon tas de weekend qui servent à rien. Et puis y avait aussi la décoration du sapin de Noël, enfin que des choses qui mettent en joyeuseté. Le journal intime de Georgia Nicohlson m'a tapé sur le système, vous vous farcirez un extrait un de ces quatre. C'est diaboliquement délirant. Et puis quand vous vous mettez à penser avec un vocable des moins courant und des conjonctions de coordination en germain, vous vous rendez compte que le-dit bouquin est mauvais pour votre santée mentale. Et encore une chose. Hier soir j'ai constaté dans une expérience du n'importe quoi capillaire que, si j'avais des oreilles moins grandes, je pourrais presque être mignone.

Samedi 8 décembre 2007 à 13:19

Non, mon blog n'est pas devenu lieu d'étalage de mièvreries. Y a d'autres choses dans la vie. Même si en ce moment vous n'en avez pas l'impression... Si si, il y a d'autres choses, à commencer par le théâtre, par exemple, je dis le théâtre parce que ça m'évitera de citer des noms en m'embarquant dans le chapitre "amitié". Comme si ça ne vous suffisait pas de lire mes radotages amoureux, je vous épargnerai les séquences émotions pour tous les gens qui le méritent (ça les gens ça veut dire que je vous aime quand même). Et voilà même quand je ne veux parler à personne d'autre qu'à moi-même je m'étale. Et là vous allez bien évidemment me dire qu'un blog est fait pour être lu par des lecteurs (on se croirait dans un cours de Monsieur K.) alors pourquoi ne veux-je parler qu'à moi même ? Hum vous avez raison. Mais on va dire que me parler à moi-même ou parler à tout le monde inconnu en même temps, c'est pareil. Quelqu'un et personne, c'est la même chose. Enfin bon de toutes façons je ne suis pas normale. Pas normalement constituée, mais une énorme lueur d'espoir, que dis-je si elle est énorme ce n'est pas une lueur, c'est une étoile d'espoir qui me dit qu'on va réussir à l'emporter sur Mère Nature. N'entrons pas dans les détails. Je me réjouis d'avance. Hier soir j'ai entamé un nouveau gel douche soit disant parfum lotus mais j'aurais plutôt dit qu'il sentait les chiottes. Plus précisément, les chiottes qui sentent bon, mais même, c'est plutôt désagréable de sentir le WC. Ou plutôt de désodorisant pour toilettes. Oui ça doit être ça. Vous avez vu mon énorme prouesse de vocable, j'ai utilisé trois termes différents pour désigner les commodités (han et de quatre !). Bon j'ai aussi usé des trois registres différents. Enfin là je délire graaaave. Le weekend dernier, j'ai posté deux articles qui ne racontaient PAS ma vie. Applaud. Je suis une divinité.

Bouh, la vieille photo. Faut que je me remette à la capture d'instants. Et ce vieux tapis pourri sera remplacé à Noël. Et j'ai regardé 2001 hier soir.

Vendredi 30 novembre 2007 à 18:24

"J'ai grossiiii !" "Mais vous êtes beau, vous êtes beau !" Le rayon-boisson-du-inter-bonjouuur ! Il en a vu des choses, ce rayon. "Bon, on a une tâche à accomplir." Une tâche à accomplir parce que pour une fois, on ne sentait pas espionnés par les miroirs déformants, qu'au contraire on va s'y contempler et qu'une madame de passage va complimenter MON chéri. C'est le genre de choses qui marquent. "Vous êtes beau." Ou alors y a la version prof d'allemand "Aah, Maxime, es ist kalt ! Sehr sehr schön Schal !" "Madame, c'est MON écharpe." Mon paneau PROPRIETE PRIVEE. Moi les salopes des "Tu baises ?", je les pulvérise. Mais pourquoi donc est-ce que je parle de salopes ? Elles sont toutes parties ramper ailleurs, et alors il n'y a plus que des gens biens sur terre. Comme Diane par exemple, et quand les gens que j'aime "commencent à bien s'aimer", alors je suis encore plus heureuse, sur ma route du vendredi après-midi, vers 13:10. Vous savez, la route qui tourne une fois à gauche et la deuxième à droite. Ah non bien sûr vous ne savez pas. Alors on va se contenter d'une explication en image. Regardez-moi ça comme on est beaux.

Jeudi 29 novembre 2007 à 18:42

C'est décidé, la natation a un effet euphorisant. Quand on sort de là, ressemblant au choix à des chiens mouillés ou à des lapins albinos, on a qu'une envie, faire les fous. Alors tant pis si on nous regarde, on se sautera dessus quand même, l'amour au grand jour c'est tellement mieux. Non pas qu'on ai pas commencé comme il faut : y a rien à redire. Mais maintenant c'est encore mieux. Alors la piscine ça fait peut être mal aux jambes sur le coup mais ça décoince. Surtout après une interr' de français sur deux heures. Voilà c'est tout. Bonne nuit les petits.

Jeudi 22 novembre 2007 à 18:12

Petite note du jour, avant les devoirs de SVT dont un excercie supplémentaire en punition. Avant de partir pour la piscine, j'ai reconnu mon deuxième fan préféré (allez, j'me permets l'expression) dans la cour de mon lycée. Alors j'ai dansé sur place et c'était un peu déplacé. Comme je m'y attendais, l'arrivée de la classe en maillot de bain, avec petits pas à la con pour pas se casser la gueule était folklorique. J'ai plongé et SHPLAF ! Une intense sensation de plaisir m'a envahie. C'était crevant mais je suis dans un état de zénitude absolu. La vie est belle, et je rééditerai probablement cet article. Ma SVT m'attend. Et personne n'a remarqué mon dos à pois.

<< A l'endroit | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | A l'envers >>

Créer un podcast