Vous l'avez peut être déjà pressenti, ou alors vous n'y avez même pas songé, mais aujourd'hui c'est vendredi, et le vendredi c'est le jour où je vous blablate des insanités amoureuses. Je vais donc changer de personne, et m'adresser à toi. Toi, toi, toi. Comme je t'aime. C'est pas demain que tu t'échapperas de mon coeur. T'y es, t'y restes. Un point c'est tout un point c'est nous (bon d'accord c'est pas original comme phrase tout le monde dit ça). T'y es entré, t'en ressortira pas de sitôt, "on s'en fout on y va pas". "On a qu'à s'cacher sous les draps", et une latte en moins. Mince. Je suis terriiiiiiblement chiante quand je m'y mets, pardonne moi, pardonne ma nature de capricieuse entêtée (dit-elle avec un grand sourire). (Il n'y a rien à interpréter, les gens. Si vous croyez comprendre, peut m'importe votre hypothèse, vous vous plantez). Toi, toi et toi. Et encore toi. En ce jour de solstice d'hiver, le jour où la nuit est la plus longue, le soleil était bas dans le ciel quand on s'est pointés vers 12:40, toutes fraudes de bus et de cantine réussies. Quatre heures avec toi. Quatre heures de magie, de folie, et tout l'amûûûr qui volette autour de nous. Oui dans mes écrits je veille toujours à ne pas devenir mièvre, et à garder la moitié. La moitié pour moi, la moitié pour nous, et plus encore. Ecoute voir Comme elle vient, chéri. Je t'aime. Encore et encore.
Vendredi 21 décembre 2007 à 17:58
Avant toute chose, avant de vous saoûler avec mes belles phrases vendrediesques pleines d'amûûûûûûr, je voudrais signaler ceci :
Mercredi 19 décembre 2007 à 19:09
Mon très cher Monsieur Versager, je vous prierais de ne pas me contredire à propos de mes oreilles alors que vous ne m'avez jamais vu de face les cheveux attachés. Evidemment, j'ai choisi pour illustrer mon propos une photo qui ne montrait PAS la réalité vraie de mon système auditif. Que croyez-vous ? Je ne posterais pas n'importe quelle photo sur laquelle je ne serais vraiment pas à mon avantage. Pourtant les photos de ce genre pullulent. Seulement, moi, je suis umweltfreundlich (sans majuscule parce que c'est un adjectif) et je fais le tri. Bon d'accord. J'arrête de parler de moi, moi, moi et mon énormité auditive. Surtout qu'en vrai ça me dérange même pas, à part que je ne peux pas excercer en public le n'importe quoi capillaire, mais je peux m'en passer. Bon à la limite quand il fait chaud ce serait pratique de pouvoir s'aérer la nuque mais mais mais ma gueule. Je ne suis pas venue pour faire l'irritante. Bien sûr vous m'aimer alors irritante ou pas, vous me prendrez comme je viens. Mais j'ai un tas de défauts qui se rassemblent en un seul, qui tournent tous autour de moi, moi, moi, je nomme l'égocentrie. Après tout je ne suis là que pour parler de mézigue (je l'ai placée)(Georgia Nicohlson, sors de ce corps). Bon. Quelqu'un me donne une idée pour lancer un nouveau sujet ? Au départ je crois que j'avais quelque chose à dire. Ah oui. Un truc du genre, pour demain je dois apprendre par coeur un dialogue d'anglais et trois colonnes de Wortfeld d'allemand, heureusement que j'me lave pas les cheveux ce soir. Genre le truc le passionant. Si vous me cotoyez fréquemment, vous aurez compris que si c'est un bonheur de ne pas me laver les cheveux, c'est parce que l'opération me prend un temps fou et que du temps, pour apprendre tout ce bordel, j'en ai besoin. Ce que je fous là, alors ? A votre avis ? Je vous raconte n'importe quoi, bien sûr. N'y prenez pas goût. Je pourrais devenir méchante. (?) Bon d'accord. Ce soir mon cerveau divague et les salopes trainent sur mon passage. C'est mon paneau propriété privée qu'elles vont se prendre dans la gueule. Et pour vous, voici de quoi vous arracher les yeux.
Lundi 17 décembre 2007 à 18:40
Pour une fois, il n'y eut aucun article du weekend. Honte à moi. Mais ça a son aspect positif : cela signifie tout bonnement que j'étais occupée plus intelligemment que devant mon PC. Autrement dit je me suis tapé une paire de marché de Noël, sans râler parce que si je rechigne à visiter les marchés de Noël ça semblerait bien illogique que je veuille me rendre à celui de de Colmar avec mon chéri, et puis j'ai goûté du vin chaud, et surtout j'ai vu Chloé exécuter la danse de l'été et la danse des elfes. Oh God mais qu'elle est choue ! Et il ne faudrait pas négliger qu'avant les marchés, sehr sehr le glacial, ma Lucie est venue à la maison. Et ça, ça vaut un bon tas de weekend qui servent à rien. Et puis y avait aussi la décoration du sapin de Noël, enfin que des choses qui mettent en joyeuseté. Le journal intime de Georgia Nicohlson m'a tapé sur le système, vous vous farcirez un extrait un de ces quatre. C'est diaboliquement délirant. Et puis quand vous vous mettez à penser avec un vocable des moins courant und des conjonctions de coordination en germain, vous vous rendez compte que le-dit bouquin est mauvais pour votre santée mentale. Et encore une chose. Hier soir j'ai constaté dans une expérience du n'importe quoi capillaire que, si j'avais des oreilles moins grandes, je pourrais presque être mignone.
Lundi 17 décembre 2007 à 18:26
Ma Lucie. C'que j'ai aimé passer cet après-midi avec toi, te retrouver, entendre ta voix, prendre tes mains, minuscules dans les miennes, et les serrer en parlant, parler de tout ça, avec toi, ça m'a fait un bien fou. Se dire tout, tout tout tout, en toute honnêteté et toute amitié, tout simplement. Et des bisous avec et sans le nez. Je t'aime ma chérie.
<< A l'endroit