Préparer l'oral du machin. Oui oui bien sûr. Causer 10 minutes en allemand avec pas beaucoup de notes, vous croyez ça possible, vous ? Et encore. Si c'est préparé, c'est bon. Mais après il y a encore 7 minutes de réponses aux questions du jury. Déjà en cours quand je connais le sujet je suis incapable de comprendre ce qu'on me demande, alors dans un examen... En plus je raconte mon voyage to Scotland, on year ago... donc va falloir parler au passé. Si mes verbes sont écrits conjugués sur ma feuille, okay, no soucy ! Mais putain. Comment je vais m'exprimer pour répondre aux questions ? Je suis partie à la recherche d'une liste des verbes irréguliers que je n'ai jamais appris, j'en ai trouvée une - collée, bien évidemment -, dans mon cahier de quatrième. L'occasion d'éclater de rire en tournant les pages. Je lis des trucs du style "Les verbes faibles boivent du te" et voilà, je sais aussi comment conjuguer un verbe régulier (il a quand même fallu que je l'écrive pour comprendre que la phrase énonçait clairement ce que je cherchais après avoir trouvé la liste des verbes forts). Du coup au lieu d'essayer de travailler j'écris un article et je scanne des vieux dessins. Ca, c'était de l'allemand. Pas l'espèce de merde académique qu'on va devoir recracher devant des gens avec l'air complètement stupide de celui qui a perdu la parole. Et puis j'ai déjà un peu bossé aujourd'hui, j'ai fini ma dissert' en parlant d'Anne Percin dans le dernier paragraphe consacré aux personnages. Les dessins débiles ce sera quand même toujours mieux que de l'allemand. Et puis c'était ça, nos distractions pendant les cours de la-dite matière. Enfin bref, souvenirs souvenirs.
Samedi 22 mars 2008 à 11:57
Chaperon rouge bouge bouge.
Vendredi 22 février 2008 à 17:34
Mon père m'a refilé un pull. Il faut croire que je m'épaissis, c'est cool. Et j'ai un soutif qui me fais des gros seins, aussi. Merci Mamie. J'ai vu Neverland l'autre soir. Un film magnifique qui fait pleurer. J'ai bien réussi à me retenir de sanglotter à côté de mes parents, mais les larmes me sont montées assez haut dans les yeux pour que l'une d'entre elle roule sur ma joue. Le pays imaginaire. Un beau concept. On ira là-bas, un jour. C'est fou comme c'est facile, quand on en peut plus. Un coeur et c'est reparti. Et, là encore, j'ai envie de pleurer comme une conne. Vivement que la vie reprenne son cours. Vivement qu'on y soit.
- C'est ce qu'on appelle faire le troittoir. Quel drôle de métier !
- Ah ? Elles excercaient leur métiers, celles-là ?
- Mais oui, ce sont des péripatéticiennes ! Ca se voit !
- Ah. Je pensais que ça se voyait plus dans leurs tenues... Mais la madame tout au bout, c'était pas son métier à elle ?
- Mais si !
- La vieille grosse en polaire rouge ?
- Bien sûr ! Elle discutait avec l'autre avant.
[...]
Vendredi 15 février 2008 à 18:47
Vendredi 15 février 2008 à 12:40
Ah mais non les amis, je ne vous laisserais pas croire que mon chéri ne s'est pas foulé pour la Saint Valentin ! Il n'y a pas que le magnifique suçon ornant ma joue ('paraît qu'j'ai l'air de m'être fait bastonnée) qui est en forme de coeur. En forme de coeur, il y a aussi le nez tout rouge de Bertrand :
- Bertrand ? Mais pourquoi Bertrand ??
- Parce que Ernestiiiiine !
Non franchement. Bertrand c'est parfait comme prénom. S'il avait eu un vrai nom de peluche on s'rait tombés dans le cucul la praline. A la place il a un nom d'auteur-compositeur-interprète-génialissime-et-criminel. Pour sûr, ça évite le niais.
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