Lundi 20 mai 2013 à 0:11

Oui, bon, non seulement je ne poste plus trop, mais en plus même quand j'ai des idées et que je vous en touche un mot (genre "il va falloir que je vous raconte les concerts du 28 avril"), ça n'aboutit pas. Je suis actuellement en période de révisions, ce qui signifie que je suis censée passer mes journées à réviser pour mes examens de la semaine prochaine. Ce que je ne fais pas, parce que je suis trop distractible. J'ai prévu de vous parler des schémas euristiques, ça ferait au moins un article utile, mais là tout de suite, je n'ai pas envie parce que je suis un peu en boule (c'est la première fois que j'utilise cette expression, dites donc). Là tout de suite, j'écris pour passer le temps - c'est hyper efficace, je ne connais pas d'activité plus chronophage. Il faudra donc que je trouve le temps de partager des informations utiles avec vous (si vous existez, lecteurs), et vu que je n'arrive pas à rester concentrée sur mes cours pendant plus de dix minutes, je devrais y arriver.

La raison de ma baisse de rendement écrit apparaît dans ces quelques lignes : j'écris pour passer le temps. Donc j'ai plus tendance à noircir les pages quand je m'ennuie, quand je dois me changer les idées, quand j'ai des déséquilibres à exprimer. Forcément, avec une vie bien remplie et heureuse, le besoin d'écrire s'estompe.

Vendredi 3 mai 2013 à 17:16

"Nen mais attendez, pourquoi vous croyez que les femmes d'aujourd'hui ont encore de l'acné à cinquante ans ? Parce que notre époque est beaucoup plus exigeante ; vous êtes plus en train de faire de la broderie dans votre donjon ! Maintenant, on vous demande d'être au top partout, au boulot, à la maison, dans la séduction... Tout ce stress, c'est nouveau."
Ma dermato, cette femme formidable.
Il faudrait que je prenne un peu le temps d'écrire et de faire une chronique musicale sur les Artefacts de dimanche dernier, mais je suis une fille occupée, j'ai un tas de choses à faire. Ou surtout, j'essaye de la jouer moins inconsciente que l'année dernière et de ne pas arriver en semaine de révisions avec des cours incomplets auxquels je n'aurais pas touché depuis des mois. Je vois de nombreuses camarades qui stressent déjà pour les examens et parlent sans arrêt de révisions, de nombre d'heures à fournir pour travailler telle matière, etc. Moi, s'il y a une chose pour laquelle je ne m'inquiète pas à l'avance, ce sont bien les partiels. On ne vit pas vraiment dans le même monde.
Je devrais peut-être écouler mes photos hivernales de Strasbourg, les arbres nus ne sont plus vraiment d'actualité.

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Jeudi 25 avril 2013 à 17:45

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Je pourrais demander un job d'été dans la création chez Undiz, non ?
Je me suis cousu un petit short pour dormir. Il y a de la soie dedans, j'ai peut-être attaqué un peu fort pour ma première création à deux jambes. Depuis le temps que j'avais acheté de quoi me faire un pyjama long, ce n'était plus trop la saison des pantalons alors j'ai fabriqué un short dans la foulée. Bon, honnêtement, je ne suis pas aussi contente du résultat qu'avec ma jupe. La prochaine fois, je me fierai plus à ma logique qu'aux tutoriels mal foutus, parce que ce n'était pas précisé, mais tailler le tissus à se mettre sur les fesses, ce n'est pas évident. Au premier essai, je ne rentrais pas dans mon pantalon. Au deuxième, j'y entrais mais il ne couvrait que la moitié basse de mon postérieur. Si j'étais complexée, j'aurais pensé avoir un trop gros cul ! La prochaine fois que je réaliserai un vêtement pour les membres inférieurs, je saurai. On n'arrête jamais d'apprendre par essai-erreur !
Sinon, il fait une chaleur à manger des glaces, et le ciel est bleu, mais d'un bleu ! Les skaters s'en donnent à coeur joie sur la place Harp à côté du Musée d'Art Moderne, c'est LE spot de Strasbourg et je ne l'ai jamais vu aussi envahi. Je regarde les gens qui sont habillés trop chaudement et je suffoque pour eux. Les filles de mon âge portent des robes incroyables avec des décolletés complètement fous dans le dos, elles les agitent sous mon nez et moi je bave devant les bouts de tissu et de peau immaculée.

Lundi 22 avril 2013 à 1:15

J'ai généralement envie de faire l'amour quand je lis Philippe Djian. Ses femmes formidables et ses hommes amoureux, ses images et son vocabulaire, j'en ai déjà parlé. Quand une femme écrivain prête ses mots et sa poésie à un personnage masculin, je me méfie toujours. Mais quand un homme crée d'autres hommes à son image, avec une telle passion pour les femmes, je suis conquise. Et pourtant, ces (anti-)héros n'ont rien d'un idéal masculin ; ce ne sont pas les personnages de papier qui font naître en moi des fantasmes, mais cette ambiance si particulière. C'est de l'amour pour toutes les choses qui transparaît entre les lignes, c'est de la lumière pure qui passe du livre au corps et qui l'éveille. Cette sensation est délicieuse maintenant qu'elle peut trouver son aboutissement. Il est si doux de savourer l'attente quand celle-ci n'est qu'occasionnelle et courte. L'impatience a un tout autre goût lorsqu'elle précède un épanouissement certain. En l'autre cas, le désir qui ne peut se raccrocher à rien, l'attente vaine entraînent la folie. Il est si bon de trouver derrière un corps chaud une âme à l'unisson de la mienne.


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Lundi 22 avril 2013 à 1:10

Avant de continuer toutes déblatérations, tout étalage de vie à la sauce adolescente ou encore toute envolée lyrique, et avant d'avoir un million d'autres choses à exposer dans ma vitrine, il faut quand même que je vous présente en bonne et due forme.


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