Vendredi 1er juin 2007 à 18:15

Je n'avais pas voulu prendre de notes pour l'oral d'allemand. J'ai eu raison, avec Jorgi (Jorg, c'est son vrai prénom), quand on fixe une date, on peut être sûrs que l'action se déroulera un autre jour. Je n'avais pas d'idée de sujet me tenant à coeur. Alors j'ai ouvert le dictionnaire et mis le doigt sur un mot au hasard. Le troisième était le bon : mon index s'écrasait sur coulisse. Aussitôt, je pensais, coulisse, théâtre, régie... Et le sujet était lancé. Jorgi m'a dit ensuite "Quand Dieu veut se manifester, il prend la forme du hasard. Tu verras dans ta vie que certains hasards sont très étonnants.". C'est comme mes 'prémonitions', sauf que ça fait longtemps que je n'ai rien 'prédit'.

J-22. Non mais vous vous rendez compte. Il reste moins de jours que le numéro de la date. 23 juin. Bientôt. J'espère qu'il fera beau, et assez chaud, mais pas trop non plus. Et qu'ils ne commenceront pas trop tôt pour laisser la nuit s'installer. Le spectacle risque d'être géant et je ne veux pas en perdre une miette à cause du soleil. Mathew, toi et moi serons bientôt réunis. Bon d'accord. Mais oui bien sûr, c'est bien ça....MUSE.

<< S'il arrive quoi que ce soit, je t'attacherai de force sur mon dos et je ne te laisserai plus jamais mettre pied à terre.

- Moi aussi, je t'aime.

- Alors, je t'attacherai encore plus serré.>>

Eragon

Mercredi 30 mai 2007 à 12:57

En fait je me contenterais d'images. Les mots me désertent, je n'ai plus rien à dire. Je suis libre, et c'est tout. Maintenant, c'est dit, je n'ai plus de suspens à entretenir, même si je sais qu'en fait personne n'avait rien compris. Lui, il n'a pas compris le rapport avec les articles précédents, et il ternit un peu plus la vision que j'ai de lui. Je ne veux pas salir complètement son image, je ne veux garder que les belles, que les vraies, pour ne jamais me dire que je suis sortie avec un con. Parce que je sais que ce n'était pas le cas. Seulement ce mec-là a disparu. Allez savoir pourquoi j'ai tourné la page ! C'est la dernière fois que j'en parle, ou vous croierez que je vous ai dit des conneries. La vie, ce n'est pas se prendre la tête. La vie c'est des amis, des am.is, des amis, des am.is, des am.is, des am.is, des amis, des amis, des amis, des amis, des amis, des amis, des amis, des amis, des amis et des amis :

Cliquez sur les lien, ils ne sont pas là pour rien.

Samedi 19 mai 2007 à 12:23

Yesterday, love ouase seutch eune isi gèïme tout plèï

No aïe nide euh plèïce tout haïde ohouèï

Oh aïe bilive ine yesterday.

Waïe chie ade tout go a donte no chie whouldeunete sèï

Aïe cède somefingz ouang no aïe longue fort yesterday hè hè hè hè....

Je propose de pendre la prof de musique. Vous vous joignez à moi ? Allez s'il-vous-plaît, c'est pour une bonne cause. Ah ben voilà j'me disais bien qu'il devrait y avoir plus de personnes motivées. Ou alors on la jette par la fenêtre, ce que l'on n'a pas fait avec la chaise qu'elle cherchait tant. Je ne supporte plus ni sa voix aiguë, ni ses cours, ni son terrible accent français, ni ses auditions.

Des volontaires, une corde/une fenêtre, et le tour est joué.

Très franchement, moi aussi je trouve que je ne ressemble à rien sur cette photo. Cet air de shootée et mes boutons pleins la gueule (sortant en plus de chez l'esthéticienne qui m'avait trouvé des points noirs à charcuter n'importe où), en fait cet photo est un accident. Je suis pour dire vrai assez fana des accidents, même si, certes, le résultat fait parfois peur. Je n'ai pas voulu la retoucher. Au moins, mon air soupirant n'est pas fait exprès et c'est sûrement pour ça que je la poste. Je la laisse à vos regards critiques.

Et la première chose que dit mon frère en me voyant fut un terrible "NOOOON" de désespoir parce que l'ordi était déjà occupé.

Mercredi 16 mai 2007 à 12:46

Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je fais des rêves bizarres et je ne pense pas à ce qu'il serait logique de penser. Je regarde les gens autour de moi, et j'éclate de rire, et ce rire me transporte et je deviens alors ce qu'on appelle un "imbécile heureux". Je m'appelle Aphrodite, j'ai une amoureuse et je danse la macarena en chantant du Madonna. La photo-pub pour un autre blog, en haut à droite, a des ailes. Eh, Ange, moi aussi j'ai des Converses rouges. Mon passé n'est pas trouble, mais mes pensées actuelles, si. Les gens défilaient dans ma tête, j'avais envie de les aimer tous, ah non, pas Mister Badlove. Je réagis parfois, ça me permet de me dire que je suis encore loin du bout du tunnel. Et pourtant. Je pourrais me déclarer officielle depuis un an, maintenant, mais je ne le fais pas. J'ai laissé mes plans, mes plans déjà tout prêts, puisque, de toutes façons, pourquoi changerais-je d'avis entre temps ? Mais c'est toujours la même chose. C'est au moment où tu t'y attend le moins que tout se renverse, ça arrive tellement vite que tu n'as pas le temps de comprendre. Il n'y a rien à comprendre. Pour l'instant je me pose des questions et je ne parlerai que lorsque j'aurais trouvé les réponses. Je crois que je ne les chercherais pas. Je ne veux plus me prendre la tête, et je rigolerai pour un rien, encore et encore, et peut être qu'après avoir changé de fond d'écran, je changerais de code PIN, Qui sait ?

Dimanche 13 mai 2007 à 18:50

Lapidez-moi avant que je casse un mur avec ma tête. Le gibet ou la potence ? Oui écrire, toujours écrire, c'est une drogue. Je fume des cartouches (d'encre) entières. Parfois il suffirait de demander au lieu de faire taire les choses d'un coup sec. Et tout ouvrir en grand, et tout déverser en un flot continu jusqu'à l'assèchement, jusqu'au déssechement, jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de salive dans ma bouche, jusqu'à ce que plus rien ne sorte, j'offense, j'explose, implosion, explosion, poison, cours, cours, cours, cours, no limit, accélère, c'est pas le moment, bordel de merde je te déteste, je vous déteste, je m'en vais de ce pas décoller les étiquettes, ne plus jamais foutre tout le monde dans le même sac, il y a des cons de chaque côté, ne généralise plus, tu aurais préféré que ça soit quelqu'un comme tu t'y attendais, comme tu t'y attendrissais, mais non, tu n'acceptais pas les "ils sont tous pareils" pourtant tu le pensais pour eux, eux mais bordel ils ne sont personne, rien, presque rien ne les rassemble en une seule catégorie, tout comme chaque fille est différente, tu éructes, tu éclabousses les murs et tu croistoujoursquetupeuxt'arrêtertejeterdansuncointecoucheroublierlacadence.

et tu...disparais.

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