Vendredi 27 avril 2007 à 11:30
Je n'ai pas touché à l'ordi hier, ouh là là mais c'est extraordinaire ! Il faut dire qu'avec un temps pareil, j'ai trouvé mieux à faire ! Finir mon DM de maths dans un coin de ma chambre, par exemple... J'en ai enfin fini avec cette matière qui d'habitude ne m'emmerde pas, et pourtant mes devoirs sont loin d'être finis... Entre les fiches de lecture (qui dit fiche de lecture dit lecture tout court) et les chapitre de SVT à inventer quand on a pas fait le chapitre précédent et qu'on arrive pas à rattrapper correctement, c'est la joie. Et en plus on me demande comme aide mathématique sur MSN.
Quelqu'un a-t-il compris pourquoi M6 nous repasse des épisodes de la première saison de Desperate Housewives ce soir ? En plein milieu, en plus. Ou peut être même vers le début. Si c'est pour nous remettre dans le bain ils auraient pu nous repasser les 3 derniers épisodes et puis c'est tout. Moi je veux voir la saison 2, s'il-vous-plaît, merci.
J'ai maintenant des chaussures uniques au monde. Non non, ce n'est pas de Converse que je parle, celles-ci arriveront dans un ou deux jour et sont loin d'être originales, non, je parle des ballerines que j'ai costumisées hier. Deux magasins de pompes encadrant un Mondial Tissus (), et voilà le travail. "Maman, t'aurait pas vu des hauts de cette couleur ? " "Bleu marine ? Pour mettre avec quoi ?" "Ben avec mes yeux" Ah, je suis vraiment fascinante. J'ai aussi remplacé mes claquettes-pour-aller-partout. Je n'en avais plus depuis la mort de mes tongs qui furent roses autrefois. Elles étaient devenues plutôt grises (pour ne pas dire crades) et tant mieux, je n'aime pas le rose. Elles me servaient à la fois de chaussons et de chaussures, l'été dernier. Je ne mettais jamais de pompes pour sortir, j'y allais avec mes claquettes-chaussons. Elles m'ont suivies partout, à la Doller, ou plutôt dans la Doller, dans la maison hanté, dans les champs et dans la forêt, je faisais du vélo avec. Et après je rentrais chez moi et je les remettais même après m'être lavée. Et ma mère m'engueulait parce que j'avais les pieds crades. Et ça m'éclatait. Je les aimais, mes horribles tongs. Et je compte bien recommencer avec mes nouvelles. Qui, certes, sont bien plus jolies.